Europe, antisémitisme, nationalisme, extrême droite, Traité de Vienne
Le XIXème siècle, par sa position post-révolution avec la Révolution française de 1789, est un siècle ayant connu de nombreux bouleversements. La Révolution française a aspiré les populations à de nouvelles exigences.
Sur tout le continent européen des idéaux ont émergé, dont nationaux. Le Traité de Vienne ayant morcelé l'Europe suivant les désirs monarchiques n'a en aucun point tenu compte des nations ce qui a accru les sentiments nationaux.
Alors qu'auparavant le nationalisme était influencé par la gauche, les idéaux nationalistes étaient joints aux idéaux libéraux voir démocrates, le nationalisme se soude à l'extrême droite provoquant irrémédiablement un changement d'idéaux, violent, raciste, xénophobe voire bellicistes.
[...] Cependant, ce nationalisme extrême n'est pas présent partout II) Dans laquelle existe une minorité non antisémite Dans les nations ne disposant pas d'état, le souhait des nationalistes est avant tout de devenir État-nation. Ils se préoccupent d'abord d'unir avant de diviser comme le font les états nations. Le nationalisme de ces états s'accapare donc au nationalisme présent dans la première moitié du XIXe siècle, celui proche des libéraux, celui s'appuyant sur le principe du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes issu de la Révolution française. Les nationaux veulent tout simplement l'indépendance. [...]
[...] L'Europe à la fin du XIXe siècle a donc un double visage. Une partie ayant octroyé leurs indépendances ou leurs unifications est antisémite et l'autre étant encore sur le chemin de l'émancipation ne conçoit pas un ultra-nationalisme. Dans cette situation, les juifs songent à disposer d'un État pour eux. En 1896 notamment Théodore Herzl père du sionisme écrit l'état des juifs une avancée vers ce qui mènera à l'État d'Israël. Nous pouvons nous demander si la création de l'État d'Israël a permis un sentiment antisémite moins important. [...]
[...] Nous verrons que l'Europe de la fin du XIXe est antisémite, mais pas partout. L'Europe de la fin du XIXe siècle : une Europe majoritairement antisémite . Le modèle de l'État-nation a été renforcé en cette fin de siècle, de nombreuses nations disposent de leurs États. On peut citer la Grèce, l'Italie, l'Angleterre, l'empire allemand, la Belgique, la France, et caetera. Bien que toutefois quelques zones en Europe restent mécontentent du découpage frontalier tel que l'Alsace-Lorraine, une zone septentrionale de l'Italie ou bien encore des germanophones. [...]
[...] Ces idéaux sont relayés et affirmer par les scientifiques qui voit en l'homme une espèce comme une autre, disposant de différentes races. À partir de là, ce n'est plus de l'antijudaïsme comme il était question autrefois, mais bel et bien de l'antisémitisme. Les nationalistes voient en les juifs une race humaine, et de plus, une race inférieure. Ceci est présent dans les États- nations. Nous allons en voir 3. Tout d'abord la France, terre de naissance de ce nationalisme extrémiste. [...]
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