enseignement, Troisième République, laïcité, anticléricalisme, lois de Jules Ferry, école obligatoire
Les pouvoirs publics s'intéressent de plus en plus à l'enseignement de l'histoire, mais se confronte au problème de l'organisation -> il faut du temps, et des spécialistes ces derniers étant au départ des enseignent des Humanités. Au moment de la IIIe République, en 1870-1940 : période importante pour l'enseignement de l'histoire et sur l'éducation d'une manière générale. À ce moment la l'éducation devient un véritable enjeu, un nouveau régime induit une affirmation de celui-ci et de faire adhérer les futurs citoyens. De plus la défaite face à l'Allemagne, et les autorités françaises ont avancé que l'enseignement allemand était supérieur au notre et ce qui avait induit leur victoire.
[...] En Allemagne les lieux de culte sont financé par l'état avec une contribution des citoyens selon leurs cultes. Les lois Jules Ferry vont avoir des conséquences sur l'enseignement de l'histoire car la discipline va se laïciser. C'est-à-dire que se coupe définitivement que tous ce qui pouvait être histoire sainte. On fera désormais de l'instruction morale et civique (et non religieuse) Puisqu'il y a une laïcisation : les clercs ne peuvent plus enseigner dans l'éducation nationale( il faut former du personnel. [...]
[...] En 1872 on réaffirme la nécessité que l'enseignement de l'histoire soit réalisé dans l'école primaire( pour favoriser ces valeurs patriotes il faut les enseigner là où il y a le plus d'élèves. Avec toujours cette idées qu'on a une histoire nationale qui suit une forme de continuité, il n'y a pas de rupture, et elle glisse vers le progrès. Avec une finalité qui persiste sur le plan moral, avec un amour de la patrie. Cela revient à chaque fois qu'il y a un gros choc national. [...]
[...] Une histoire avant tous politique, diplomatique et militaire. Il y a tout de même une petite ouverture sur des civilisations européennes et extras européennes tel Afrique du nord et proche orient. Normalement il y a eu la préoccupation de formé des enseignant d'histoire avec une ouverture de l'agrégation d''histoire, mais sa reste limité par rapport au nombre. On doit former de nouveaux étudiants. C'est en 1902 qu'il y a la volonté affiché d'avoir des profs que spécialisé dans le secondaire mais appliquer que dans les années 1980. [...]
[...] Mais puisque peu d'enseignants on été formé à l'histoire cette discipline reste limité. Dans l'enseignement secondaire on doit lui laisser 1-3h par semaine alors que le latin et le grec occupent 11h par l'histoire. En 1880 l'histoire devient une épreuve du bas( examen = composition littéraire, soit un discours français (discours entre deux personnages historiques). Cela montre bien que l'histoire est vue à travers les grands personnages, et un coté littéraire. Le programme est chronologique. Ils font 3 ans d'histoire antique ans d''histoire médiévale ans d'histoire moderne, et 1 an d'histoire contemporaine. [...]
[...] Mais cette reforme suscite beaucoup de critique et dès 1925 on revient à un parcours chronologique unique, avec cette fois deux années pour l'antiquité. Sous la IIIe république autre courant qui émerge : revus des annale apparait en 1929. On se rend compte qu'il y a peu de lien entre l'évolution de l'histoire au niveau universitaire et l'enseignement scolaire de l'histoire. [...]
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