Sciences humaines et arts, enseignement de l'histoire, 1945, histoire de France, réforme Haby, collège unique, enseignement traditionel
Carcopino : a écrit sur l'histoire romaine. Sous vichy c'est le fait de la laïcité, gratuité de l'enseignement, et dans l'éducation nationale il y a eu une épuration. Après la Deuxième Guerre mondiale, l'enseignement est important, car on veut reconstruire une identité, il y aurait une faillite dans l'enseignement qui aurait conduit à l'atrocité. Les objectifs de l'enseignement national vont se modifier avec cette idée de former l'homme et le citoyen. Une finalité aussi au niveau de l'organisation, avec l'idée que le collège doit servir à s'orienter et le lycée à se spécialisé. Idée au niveau du corps professoral avec l'idée de recruter un professorat unique : unicité du corps professoral. Après la Deuxième Guerre mondiale, la France est confrontée à des transformations sociales économiques très importantes en particulier, car on rentre dans le baby boom.
[...] Qu'est ce qu'on fait en histoire, qu'elles sont les objectifs. Les finalités de l'enseignement universitaire ne sont pas les même que les finalités dans le secondaire. Au niveau secondaire le rapprochement avec le temps présent le but dans le secondaire est d'accrocher le plus possible d'élève. Mais dans le système universitaire le but de l'histoire n'est pas de faire une analyse du présent à travers le présent. [...]
[...] Le roman national est un récit de l'histoire de France( celui-ci à un début et une fin, on a une évolution, on par ainsi des Gaulois pour arrivé à la République avec un moment fondamentale la Révolution. On essaye de montrer qu'on est dans une histoire toute tracée. Cette conception du roman national a été mise en place au moment de la IIIe république, pour l'enraciner. On veut montrer que la mise en pace de la république était la destiné de la France. [...]
[...] Forcement pour l'histoire sa passe par l'étude de documents. Pour le primaire on envisage aussi une méthode concentrique : la problématique la thématique est adaptée au niveau. Méthode nouvelles se mettent en place dans le primaire et il faut plus de temps pour que sa gagne le secondaire. On revient à un découpage sur les 4 périodes. Pour l'histoire contemporaine on l'arrête en 1939. La seconde guerre mondiale n'est étudiée qu'en 1959 BEPC : brevet des collèges. Au collège on décide de mettre en place un enseignement d'instruction civique, valable dans le primaire mais pas dans le secondaire. [...]
[...] René Giraud mène à bien une étude pour savoir ou en est l'enseignement de l'histoire : rapport qu'il livre en 1982. Il fixe différentes lignes, il part du principe que le collège et le primaire on pour but l'intégration de connaissance de base et des connaissances citoyennes( idée de formation civique et citoyenne de l'enfant qu'on n'a pas à l'université. Le refus de partir du présent pour remonter vers le passé est très gênant. On a trop favorisé le politique pendant un certains temps et qu'il va falloir retravailler cette question de politique. [...]
[...] On laisse souvent peu de place dans l'histoire de France à une étude plus locale. La France n'a pas favorisé les particularismes régionaux. Il y a eu cette politique d'unité, et d'une forme de centralité que l'on ne retrouve pas dans les autres pays européens. On est dans une conception ou la France défendrait des droits universels. On a un thème récurent : la mondialisation, les pays européen parlent de droit universel, or la Chine conteste cette universalité et elle à une propre conception des droits. [...]
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