Au cours des années 60 et 70, le niveau de vie des Soviétiques s'étaient fortement amélioré. Ceci entraîne une adhésion de la population au régime. Cette adhésion résultait du fait d'une part de la censure et d'autre part de la propagande faisant croire à la population qu'elle vit mieux qu'en Occident.
Le pouvoir d'achat est élevé car si les salaires sont relativement bas, le prix des marchandises l'est encore plus. Les Soviétiques ont un important pouvoir d'épargne. Par contre, le pouvoir de consommation est réduit : les produits accessibles sont des produits de base de qualité médiocre, ils existent en faible quantité, ce qui provoque les files d'attente.
La population peut trouver un complément de produits sur le marché libre kolkhozien et sur les marchés noirs. Ceux qui détiennent le pouvoir (la nomenklatura) et ceux qui contribuent au renom de l'URSS à l'étranger (savants, sportifs de haut niveau, astronomes,…) ont accès à des magasins privés vendant à des prix détaxés des produits européens.
[...] L'effondrement du communisme en Europe Aspect de la vie quotidienne En URSS Au cours des années 60 et 70, le niveau de vie des Soviétiques s'étaient fortement amélioré. Ceci entraîne une adhésion de la population au régime. Cette adhésion résultait du fait d'une part de la censure et d'autre part de la propagande faisant croire à la population qu'elle vit mieux qu'en Occident. Le pouvoir d'achat est élevé car si les salaires sont relativement bas, le prix des marchandises l'est encore plus. [...]
[...] Ils se tournent vers des boissons alcoolisées de substitution qui aggravent la situation. o La glasnost ou suppression de la censure amène les Soviétiques à découvrir une réalité qu'ils ne veulent pas savoir : ils réclament la restauration de la censure. o La perestroïka ne séduit personne pour plusieurs raisons : Formés au communisme, beaucoup rejettent un retour déguisé au capitalisme Les nouvelles formes d'entreprises vendent à des prix plus élevés, inaccessibles à la masse qui les accuse de provoquer une hausse générale des prix. [...]
[...] Beaucoup n'osent pas se lancer, car ils ont peur de prendre des initiatives, peur de voir le régime changé de politique. Les répercussions en Europe de l'Est La libéralisation du régime en URSS va provoquer toute une série de revendications dans les pays satellites. Les principales portent sur : La reconnaissance des grandes libertés individuelles. La fin de la dictature du parti communiste. La mise en place d'élections libres. La mise en place du multipartisme. Le communisme s'effondre pacifiquement en 1989 sauf en Roumanie où des cas de violences sont recensés et en Albanie où il survit deux ans. [...]
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