écriture de l'histoire au XIXe, histoire littéraire, histoire politique, école méthodique, lien entre Histoire et Philosophie
On a une écriture plus politique pour le XIXe siècle. L'histoire va servir à justifier des choix politiques. Au XIXe, on a des hommes politiques qui sont souvent des historiens : Thiers, Guizot. Il y'a une deuxième période, qui va se développer de la fin des années 60 et qui va se prolonger sur le 20e jusque dans l'entre de guerre. C'est ce qu'on va appeler l'école méthodique. C'est une histoire qui se veut véritablement scientifique, en pleine période positiviste.
[...] Tout ça doit déboucher sur l'écriture de l'histoire. On a reproché certaines choses aux historiens méthodiques et en particulier de ne s'occuper que des évènements et de faire une histoire trop érudite. On leur a reproché de vouloir présenter une interprétation définitive des choses. Leur objectif était justement de faire en sorte que la démarche historique soit le moins subjectif possible. Le lien entre Histoire et Philosophie. Les historiens français du XIX, ne se sont pas beaucoup préoccupés de questions philosophiques. [...]
[...] Chateaubriand a connu l'exil pendant la révolution et avait écrit des 1797, "l'essai sur les révolutions". Il a voulu montrer que dans l'histoire de l'humanité, il y'avait eu plusieurs pérides révolutionnaires. Il y'a la un essai sur les études historiques de 1831. Il oppose deux types d'histoire descriptive et l'histoire philosophique. Ce qui l'intéresse est de raconter l'histoire descriptive et se soucie de la vérité. On se préoccupe avant tout de l'individu. L'auteur incarne bien cette histoire littéraire. Le romantisme amène un vent nouveau sur les études sur la période médiévale. [...]
[...] Il va s'intéresser à des héros populaires. Il a l'idée que tout aboutit à la révolution française. Il soutient le peuple et à ses préférences. Il défend les sans-culottes, et l'idée républicaine. Il va exercer une influence considérable, il a été très populaire en Russie et en Europe centrale par rapport à la défense de l'idée républicaine. Tocqueville, est un aristocrate et est célèbre pour la "démocratie en Amérique". Vision de l'histoire qui s'appuie sur la sociologie. Il cherche à savoir comment marche la démocratie. [...]
[...] Ca se développe au XIX, Dithey distingue les sciences de la nature et les sciences de l'esprit. Pas les mêmes objets = homme au centre. Le ssciences de la nature visent à dégager des lois et les sciences de l'esprit s'occupent de l'individuel. A partir de là, pour lui, les méthodes ne peuvent pas être explicatives mais seulement compréhensives. Il faut se replonger dans la période que l'on étudie. Il n'y a pas d'histoire définitive. C'est pour ça qu'on appelle historisme, l'écriture de l'histoire se fait dans un temps donné. [...]
[...] Il fait une histoire problème. L'école méthodique : c'est très marqué IIIè République. C'est liée aussi au développement de la science et de cet air du temps qu'on appelle, le positivisme qui donne le sciencisme. L'histoire méthodique se développe dans ce contexte intellectuel. Il y'a la volonté de faire de l'histoire une science, mais la difficulté est d'adapter une démarche expérimentale. Il y'a eu la volonté à ce moment là de faire en sorte que l'histoire se rapproche véritablement d'une vrai science. [...]
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