La démographie entre 1914 et 1945

Résumé du document

La démographie entre 1914 et 1945, fiche de cours d'histoire socio-économique de la france



Il s'agit de comprendre la quasi stagnation démographique de la France. En effet, durant toute la 1ère moitié de 20ème siècle, la population totale de la France a très faiblement augmenté. Entre 1900 et 1950 la population est passée de 41 à 42 millions d'habitants, par comparaison avec la seconde moitié du 20eme sicle donc entre 1950 et 2000, la population passe de 42 millions à 59 millions d'habitants, et là la deuxième période correspond plus à phase actuelle.

Extraits

[...] La consommation des habitants des villes à la veille de la guerre n'était que de 175 grammes. Le problème c'est que les animaux réquisitionné furent expédié au front. Très rapidement les ressources nationales vont être insuffisantes c'est alors que la France découvre l'importation de la viande congelé et durant toute la guerre la France se fourni en viande congelé en provenance d'Angleterre. La viande congelée sera utilisé pour couvrir les besoins militaires mais aussi les besoins civils. On s'aperçoit que certaines municipalités organisent les importations, pour qu'ils y aient de la viande dans les villes, et on constate ensuite que ce nouveau mode d'alimentation se répand dans les habitudes alimentaires. [...]

[...] L'absence d'engrais rendait alors impossible toute augmentation de rendement. De même, les engrais naturel ne pouvaient plus être produits du fait du manque des animaux. Troisièmement, la baisse de production agricole provient encore de la perte de terres cultivées. Les combats des armées se sont déroulés sur les terres les plus riches du nord et de l'est de la France. Nord et est étaient les régions agricoles les plus modernes, et celles qui avaient sur leur terres, les plus hauts rendements céréaliers. [...]

[...] La seule solution était de recourir aux approvisionnements extérieurs. Une politique d'importation massive a été nécessaire durant plusieurs années. Cela notamment pour couvrir les besoins alimentaires des villes et des armées, on assista alors en France, au relâchement du régime protectionniste et on constate que les importations augmentent régulièrement puisque la production nationale de la métropole ne cesse de réduire. Dans ces importation, les céréales ont occupé la 1ère place des achats a l'extérieur et la France importa principalement le blé américain, les principaux fournisseurs étant les USA, le canada et l'argentine et la France se fournissait également en Afrique du nord de plus un approvisionnement en viande fut organisé. [...]

[...] L'état est intervenu pour baissé le cout de production et en permettre la diffusion. On constate que l'agriculture va utiliser 1/3 de fertilisants en plus par rapport à l'avant guerre. L'accroissement reste encore limité, cela en l'absence d'enseignement professionnel généralisé, enseignement qui aurait expliqué l'intérêt des engrais pour augmenter cette productivité. Lorsqu'on est en 1914, l'école obligatoire n'a qu'une trentaine d'année (1882) on n'a que une expérience d'école générale, on a un manque d'enseignement (professionnel). L'état s'est préoccupé d'amélioré l'équipement collectif et des moyens financiers ont été investies dans le développement de l'électrification des campagnes. [...]

[...] Des raisons différentes vont expliquer cette baisse. La baisse de la production agricole provient d'un manque de main d'œuvre agricole, car cette dernière n'était pas fortement mécanisé, le travail humain restait encore le 1er facteur de production hors au moment de la mobilisation pour la guerre, les de la population active agricole masculine, vont partir a la guerre et nombreux sont ceux qui ont rejoint l'armée dès les 1ers jours de la guerre. Or le problème est que la déclaration de guerre a eu lieu le 3aout donc en été, et donc durant la saison majeurs, la saison des grands travaux agricole et on constate que la moisson n'avait pas encore été faite dans le nord du pays, aussi très vite la production a baissé par manque d'hommes et cette absence des hommes n'a jamais pu être intégralement compensé durant la guerre, cela malgré les efforts des femmes qui ont été aidé par les vieillards ou les adolescents. [...]