Croissance, développement, XXème siècle, croissance économique, entreprises, relations économiques
Siècle de croissance : la Belle époque, les années folles, les Trente Glorieuses, la fin du siècle (« nouvelle économie ») amènent à s'interroger sur son origine, et donc à l'étude de l'entreprise et des théories.
La croissance économique est un phénomène cumulatif, mais irrégulier.
La connaissance des croissances du passé est approximative, car ce n'est qu'en 1945 que les pays occidentaux commencent à se doter d'un appareil de comptabilité nationale.
[...] La robotisation dans l'automobile va résoudre le problème : informatisation de la production. La spécialisation (Rhône-Poulenc = pharmaceutique) tend à prendre aujourd'hui le meilleur sur la diversification (Vivendi : traitement de l'eau et médias) pour réduire les coûts. Pour atteindre la taille critique et lutter face aux lourds investissements en recherche et développement, on n'hésite plus à penser international : Renault et Nissan, rachat de Orange par France télécom). De Gaulle, dès 1958, à favoriser ces concentrations pour lutter contre la contrainte extérieure. [...]
[...] Les grandes entreprises ont donc l'avantage sur les petites car elles sont plus compétitives. Le marché incite à racheter ses concurrents sur un même marché afin d'accroître ses moyens de production (pratiquer un prix plus abordable) et d'obtenir de nouveaux débouchés. Horizontale : regroupement d'entreprises produisant un produit donné Le Konzern allemand cumule les deux logiques : concentration verticale, de plus, face à un marché étroit, il étend la gamme de produits et s'associe au secteur bancaire car faiblesse du marché financier. [...]
[...] Say (1767-1832), le métier d'entrepreneur (figure centrale de la RI) consiste à faire l'intermédiaire entre les ouvriers et les savants, il combine les facteurs de production, il prend des risques qu'il supporte personnellement. Il est donc capitaliste. Selon Marx (1818-1883), il est responsable du changement social. L'entrepreneur innovateur selon Schumpeter est le personnage clé du changement social pour son rôle d'impulsion ou de diffusion du changement organisationnel. Il se distingue du capitaliste, donc ne supporte pas forcément le risque. Il n'est pas guider par le profit mais l'accomplissement d'un besoin de puissance, la joie de créer. [...]
[...] La connaissance des croissances du passé est approximative, car ce n'est qu'en 1945 que les pays occidentaux commencent à se doter d'un appareil de comptabilité nationale. Selon Maddison, c'est le siècle de l'enrichissement d'une partie du monde. Il divise le XXème siècle en 3 périodes : 1913-1950 : 2WW et crise de 29 donc faible croissance. 1950-1973 : âge d'or de la croissance dans le monde entier. 1973-1992 : période de décélération mais pas aussi terrible à l'échelle mondiale en raison de l'essor asiatique. Autre découpage possible : 1896-1929 : Belle Epoque (fin de la grande dépression à 1914) + années folles (1920s). [...]
[...] -l'industrie : croissance forte puis moyenne de la production et PT rapide : effectif croissant jusqu' aux 1970s puis décroissant. -les services : forte croissance de la demande, PT lent : forte création d'emploi depuis 1945. Baisse des prix propre à chaque secteur exprimée en temps de travail Dans Pourquoi les prix baissent ? de Fourastié, ils baissent avec la productivité donc forte baisse dans l'industrie, faible baisse dans les services : cf diff du prix du miroir et du coiffeur (stable). [...]
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