Keynésianisme, libéralisme, stagflation, 1970, chômage
A partir de 1965 : chômage modéré (seulement 2-3%) et hausse des prix des pays industrialisés. La forte croissance économique ne suffit plus pour absorber le flux montant de jeunes demandeurs d'emplois du baby-boom. L'inflation exige la création de monnaies supplémentaires pour financer les crédits (ménages, entreprises) et pour alimenter les dépenses publiques. Les grandes entreprises n'ont pas hésité à augmenter les prix (course-poursuite des prix et des salaires).
[...] Le choc pétrolier accentue la hausse des prix dans les pays importateurs+prélèvement sur le PNB car augmentations des factures pétrolières. Diminution des importations de pétroles et donc de l'activité économique. Le chômage s'aggrave : OCDE, affaiblie la consommation en freinant l'incitation à produire. La contraction de l'activité mondiale réduit la demande de matières premières dont les cours s'affaissent, diminuant encore les revenus du 1/3 monde. Les pays pauvres diminuent l'importation (encore diminution demande mondiale), ou s'endettent L'insaisissable reprise (1976-1979) Indicateurs mitigés de reprise (progression taux moyen annuel PNB, reprise échanges internationaux) en éléments positifs : - prix baril ~ figé 15 excédent financiers de l'OPEP alimentent les crédits nécessaires au PEVD (pas de disette de capitaux) - EU, All, Jap : croissance 1/3M et NPI deviennent partenaires dynamiques. [...]
[...] De plus inflation déforme les statistique à la base des prévisions éco : fausse concurrence. Stagflation contredis les théories libérales, il faut maîtriser inflation et chômage Une crise industrielle majeure Rythme de croissance de la production industrielle se ralentit d'un quart. Equipement des ménages, automobiles approche le seuil de saturation = demande moins intense. Plus graves difficultés dans textile (concurrence PED), automobile (carburant cher, crédit cher, concurrence japonaise) sidérurgie (marchés déjà équipés, haut coût de production, concurrence acier japonais). Moins durement constructions navales (concurrence jap), pétrochimie coût). [...]
[...] Les pays ont engagés des plans de développement éco. Mais l'enrichissement n'a pas permis de régler tous les pbs du sous-développement. Dans le 1/3 monde, certain on réussi une percée industrielle (effort d'investissement) : Corée Taiwan, HK, Singapour dragons), délocalisation partielle des grandes firmes occidentales. OCDE achète 18% importations biens manufacturés NPI. Pays 1/3 monde achètent aux dragons = parts perdues pour l'occident. Mais la plupart des pays sous développés sont victimes de la crise, dépendent des cours, s'endettent (dette du 1/3 monde 100 milliards $ à 600 $ entre 73-82). [...]
[...] Déroulement de crise en 5 actes 1. Deux signes avant coureurs : chômages et inflation A partir de 1965 : chômage modéré (seulement et hausse des prix des pays industrialisés. La forte croissance économique ne suffit plus pour absorber le flux montant de jeunes demandeurs d'emplois du baby- boom. L'inflation exige la création de monnaies supplémentaires pour financer les crédits (ménages, entreprises) et pour alimenter les dépenses publiques. Les grandes entreprises n'ont pas hésité à augmenter les prix, course-poursuite des prix et des salaires. [...]
[...] L'arrêt brutal de l'expansion et le ralentissement de la croissance sont des manifestation habituelles des crises eco. Recul de du PNB de l'OCDE, contraction de du volume des échanges = crise internationale. L'enfoncement dans la dépression est évitée par l'augmentation des grandes productions significatives (niveau recors 1979), la richesse des nations reprend sa courbe ascendante (mais irréguliers et ralentis), croissance moyenne de l'OCDE DE (contre en 1972). Mais véritable rechute 1980-83 : nouveau recul, crise mondiale. Chômage = faillite des PME= chômage. [...]
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