Dès les années 1920-30, les relations entre Weimar et Paris sont à l'origine des projets européens.
Relations étatiques mais aussi humaines entre les hommes politiques Français et Allemands. Relations « Paris-Bonn ».
Engagement commun d'après 1945. La construction européenne est vitale pour la reconstruction de l'Allemagne.
Le sort de l'Allemagne est aux mains des « vainqueurs » de la 2nde guerre mondiale.
L'Union Européenne apparaît comme le meilleur moyen de laisser l'Allemagne se développer démocratiquement tout en la contrôlant.
Contexte de guerre froide nécessitant une meilleure coopération de l'Europe occidentale.
[...] Novembre 86 : création d'une brigade franco-allemande Eurocorps (qui regroupe également Espagne, Belgique et Luxembourg). Elargissement encouragé par Paris et Bonn 81 : la Grèce 86 : Espagne et Portugal, qui sortent tout juste de la dictature. 12 membres. Diversifier l'Europe géographiquement et culturellement, mais poids financier de la contribution des zones pauvres. Approfondissement de l'intégration : l'Acte Unique Européen de 86 promu par Jacques Delors. Lors de la chute du mur, Mitterrand est dans un premier temps réticent à la réunification qui se fait finalement sans accroche entre les deux pays. [...]
[...] Création surtout de l'OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse) créé le 5 Juillet 1963. Mise en place de voyages de jeunes, de stages de traduction Rôle plus tard, lors de la guerre des Balkans, dans le dialogue entre les Serbes et les Croates. Le Traité de l'Elysée dirige encore les relations franco-allemandes, avec quelques réajustements. Par la suite, la coopération est ralentie avec un nouveau refus de DG, le 27 Novembre 67, de laisser entrer l'Allemagne (sous Kissinger). La situation ne se débloque qu'avec l'arrivée de Pompidou à l'Elysée les trois communauté (CECA, CEE et Euratom) sont fusionnées un seul parlement pour les 3 communautés. [...]
[...] Collaboration entre le Franc et le Mark. La France reconnaît que le Mark allemand domine les autres devises européenne : le Mark devient la monnaie de référence. forte marque du couple franco-allemand dans ces avancées. Elargissements : 73 = GB, Irlande et Danemark. Encouragée par les petits états de l'Europe qui y voient un moyen d'atténuer la domination franco-allemande sur la CEE. conséquences sur les avancées militaires et de défense. La RFA et la RDA rentrent cette année à l_ONU. [...]
[...] Le traité de Rome est donc le résultat d_un compromis entre les deux nations. Le retour de de Gaulle fait craindre une dégradation des relations franco- allemandes. Il n'en sera rien. II La coopération bilatérale sous le gaullisme : institutionnalisation (1958 1974) Le partenariat à l'épreuve du gaullisme Lors du projet de la CED, DG s'était montré très virulent dans son opposition au réarmement Allemand. Retour en 58 et mise en place de la Ve république. Reste 11 ans au pouvoir. [...]
[...] Ils négocient en tête-à-tête, à huit clos. En 1974, mise en place par VGE du Conseil Européen des chefs d'Etats. Permet de montrer l'intérêt des politiques à l'Europe. Le Conseil devient un organe central des décisions, origine des impulsions aux avancées majeures. En 1976, décision de l'élection des Eurodéputés de Strasbourg au Suffrage Universel premières élections en 79. En 1978, mise en place du système monétaire européen. Ouverture à la voie de la monnaie européenne. Contexte de crise depuis 73. [...]
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