Chrétienté paradoxale, 1939-1960, Seconde Guerre mondiale, Glaive de l'esprit, croisade, civilisation judéo-chrétienne
La période de la Seconde Guerre mondiale est un chaos général accentué par les pays occupés. L'état et l'armée vont avoir une autorité dissoute. Chacun va être confronté à sa propre conscience. Ils vont devoir faire des choix. Dans tous les pays occupés d'Europe, il va y avoir une réduction des intérêts à la taille des pays.
Le poids des minorités pendant la guerre est important, car ils sont tous mobilisés et jouent un rôle important idéologique. Le poids de la Seconde Guerre est les minorités, ça va être leur heure à eux. Le rôle des différents militants formés dans l'entre-deux guerre est important. Cette guerre dure pendant 5 ans qui permettent d'avoir une évolution. Dans cette durée il y a plusieurs générations. Dans cette durée le rôle de la psychologie d'opinion est essentiel, car elle va jouer un grand rôle. L'opinion française sous Vichy est quelque chose de très fléchi.
[...] Un tiers est persécuté, les juifs, tziganes. Les obliges a se convertir ou sinon ils sont massacré. On peut voir que le problème de la dimension confessionnelle joue et intervient dans la guerre. En 44-45 les soviétiques ont liquidés tous ceux dont ils doutaient de leurs fidélités. Les églises catholiques grecques vont être absorbées de force en 46, par l'église orthodoxe, et cela empêche le pape d'aller à Rome. Sur le front de l'Est deux types d'interventions, fausses croisades mais l'un est l'autre se saisisse du thème de la croisade. [...]
[...] Les démocraties elle mêmes ne croient plus à leur valeur propre. Et dans les gouvernements qui se succèdent ont fait le choix de ministre déficit. Pendant ce drôle de guerre, la panique va permettre un retour au cléricalisme, les gouvernements n'arrêtent pas d'allé aux messes. C'est une panique complète. Vichy hérité du cléricalisme et du moralisme. Il y a une grande cure de moralisme : on a perdue car on la mérité. Tout cela marque les débuts de la révolution nationale. [...]
[...] Juin 41, lorsque l'Allemagne attaque l'URSS, avec un nouveau basculement des résistants. Et décembre 41, entré des états unis dans la guerre. La guerre en 39, n'a commencé nulle part en forme de croisade, tout le monde conçoit que la guerre est un échec, tout le monde y va désespérer. Il n'y a pas non plus d'union sacré. Tout le monde part à la guerre sans vraiment un réel but. Tous les thèmes de la propagande sont usés avant de partir. [...]
[...] Cette croisade transformé a permit à Hitler de lever dans 37 pays occupés des milliers d'hommes, volontaire intégré en contingent nationaux avec leur drapeaux. Mais il y a eu quand même quelques convaincue : Mayol de Lopé est aumônier. Pour Staline il a fallut au moins un mois pour qu'il agisse. Staline relance cette croisade antifasciste. Les allemands se présentent comme des libérateurs du communisme. Donc, la croisade de Staline ne fonctionne pas vraiment. Il rétablit le patriarche de Moscou, car seulement l'argument de nationalisme peut fonctionner. Staline reconstitue l'église orthodoxe, rétablit le patriarche Serge. [...]
[...] La chrétienté paradoxale 39-60 : La période de la Seconde Guerre mondiale est un chaos général accentué par les pays occupés. L'état et l'armée vont avoir une autorité dissoute. Chacun va être confronté à sa propre conscience. Ils vont devoir faire des choix. Dans tous les pays occupés d'Europe, il va y avoir une réduction des intérêts à la taille des pays. Le poids des minorités pendant la guerre est important, car ils sont tous mobilisés et jouent un rôle important idéologique. [...]
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