Les 30 glorieuses, période de prospérité, développement économique, école devient obligatoire, reconstruction de la France
En France, la période des "trente glorieuses" correspond à une période de prospérité et d'intense développement économique. Après la fin de la guerre en 1945, les français doivent s'unir pour reconstruire le pays ravagé par la guerre.
Les Français vont alors remonter leurs manches pour créer une France plus forte. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, il manque de tout (pénuries alimentaires, de charbon …). De plus, le marché noir subsiste encore. Le gouvernement incite donc tous les français dans l'effort de reconstruction du pays.
[...] Le gouvernement français fait donc appel à l'immigration. On dénombre alors à émigrés de différentes nations (Portugal, Espagnols, et surtout Marocains, Algériens, Tunisiens). Ces personnes occupent surtout des postes d'entretien (mairies) ou dans les administrations publiques ou territoriales, des métiers sans qualification tels que ouvriers (manœuvre). Ils fuient leurs pays, la misère, la guerre civile, dans le but de trouver une vie meilleure en France. Le gouvernement français pensait qu'après quelques années en France, ils repartiraient dans leur pays respectif. [...]
[...] Qu'appelle t'on les 30 glorieuses ? En France, la période des "trente glorieuses" correspond à une période de prospérité et d'intense développement économique. Après la fin de la guerre en 1945, les français doivent s'unir pour reconstruire le pays ravagé par la guerre. Les Français vont alors remonter leurs manches pour créer une France plus forte. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, il manque de tout (pénuries alimentaires, de charbon De plus, le marché noir subsiste encore. Le gouvernement incite donc tous les français dans l'effort de reconstruction du pays. [...]
[...] Après la guerre, le gouvernement incite les français à faire des enfants. C'est le "baby-boom". Dans la fin des années 60, on voit une amélioration des salaires et du niveau de vie. Mais le choc pétrolier de 1973 puis celui de 1979, bloque cette idée d'union et laisse place à l'individualisme. Une commune périphérique d'une agglomération n'est pas considérée comme une ville mais plutôt comme une banlieue. Une banlieue est construite autour d'une ville, à proximité de celle-ci, dans le but d'être proche de la ville, des magasins, des loisirs, des activités ou centres culturels ou sportifs proposés, tout en gardant l'aspect plus calme de la campagne, éloignée de la circulation, du bruit (aéroport), du stress, du métro. [...]
[...] On voit également apparaître deux types d'école : l'école privée destinée aux classes les plus aisées et le public pour les classes plus modestes. Mais l'enseignement reste identique. Cet enseignement évolue à partir de la fin des années 60 et le début des années 70. Les jeunes refusent les valeurs parentales et contestent leurs professeurs. On voit développer une évolution des mœurs. Les études supérieures et les métiers des cadres et professions intellectuelles supérieures) qui étaient réservés aux castes aisées se voient accessibles aux classes plus modestes. Dans les années 60, le gouvernement crée les BIS, IEP pour les étudiants. [...]
[...] La classe bourgeoise est principalement celle qui fait le plus d' études supérieures. Les classes ouvrières ont plutôt tendance à se tourner vers des métiers porteurs avec des études courtes. On ne change pas si facilement de prédisposition de génération en génération, peu de réelle évolution du statut social. Les enfants d'immigrés ont des problèmes d'adaptation, les parents ne parlent pas la langue, ils se sentent exclus de ce pays ( d'élèves étrangers ne maîtrisent pas la lecture en 6e). [...]
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