Directoire, désarroi des Français, 1795-1799, Révolution française, Bonaparte, Instabilité du régime
C'est une période de transition, la nation n'a «plus de volonté politique». La Répu est déçu, trop de sang a été versé. On veut un gouvernement stable. On crée une nouvelle constitution, celle de l'An III. Cependant il y a une volonté de ne pas revoir les même têtes mais il y a la peur d'une assemblée unique. Il n'y a que 30 000 électeurs qui décident des assemblées. La 1er assemblée et le conseil des Anciens, l'autre est le conseil des 500. Les deux assemblées on tous les pouvoirs.
[...] Il n'y a que électeurs qui décident des assemblées. La 1er assemblée et le conseil des Anciens, l'autre est le conseil des 500. Les deux assemblées on tous les pouvoirs. Le pouvoir est délégué à un Directoire de 5 directeurs qui sont renouvelés 1 par 1 tous les 5ans. Ils ne peuvent pas dissoudre l'une ou l'autre chambre. C'est le chef de l'État divisé par 5 et 5 grands ministres. On a aussi des préfets qui sont le symbole du centralisme jacobin. [...]
[...] Le moment à retenir c'est la constitution de Cracus Baboeuf. Proche de Hber et Marras il reprend les idées Hébertistes, on supprime l'héritage et la propriété foncière. Il veut une dictature du pouvoir qui prennent le pouvoir par les armes pour supprimer les inégalités. Mais en 1796 il est arrête avec d'ancien montagnards et guillotiné en 1797. En 1797 selon la constitution de l'An III on devait remplacer une partie de la chmabre qui se retrouve composée de plus de royaliste. [...]
[...] On demande alors à Jourdan de fondre sur la Bavière et Vienne, le général Moureau doit l'épauler mais ils sont battus. On demande alors à une petite armée, celle d'Italie de faire diversion. Napoléon à la tête de hommes attaques les positions autrichiennes.On fait de l'Italie le théâtre principal des opérations, par la campagne d'Italie c'est toute une génération qui rêve de gloire. Bonaparte s'affirme par son caractère, il a un honneur et un orgueil démesuré. A l'école de Brienne il sort officier artilleur avec brio. [...]
[...] Napoléon ignore Gènes pourtant assiéger par les autrichiens, il veut d'abord battre les piémontais, à Montenote il écrase le Piémont et prend Turin. La FR reprend Nice et la Savoie. Par la suite il engage la manœuvre de Lodi, il doit faire face à des autrichiens 3 fois plus nombreux qui tiennent Milan et Menton. Il envoi le général Beaulieu faire diversion. Napoléon fonce vers Piacenza et traverse le pont sur le Po à la surprise générale. A Lodi il écrase les autrichiens par son utilisation tactique de l'artillerie. Il remporte 10 victoires en 1 an. [...]
[...] NBen voudras tjr à Venise qu'il liquide et vide de tout. Il ne reste à NB que l'Angleterre à vaincre, il décide de s'en prendre à leur commerce méditerranéen qui passe essentiellement par l'Égypte, de l'Inde à Gibraltar. Faire la campagne d'Égypte c'est asphyxié l'Angleterre et aussi éloigner Napoléon qui devient de plus en plus puissant et le montre lors de son retour triomphale de l'Italie à Paris. L'Égypte est à la mode. A Toulon NB réunit une armada de 250 navires et hommes. [...]
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