Les côlons n'étaient pas les premiers habitants du nouveau continent. Les côlons durent cohabiter avec les autochtones, une cohabitation qui ne fut pas pacifique.
Les autochtones étaient des Amérindiens, ils furent appelés Indiens, suite à la confusion qui entoura la découverte de l'Amérique, les Européens étaient alors persuadés d'avoir découvert l'Inde.
Les autochtones se répartissaient en différentes tribus. Les côlons anglais n'acceptèrent pas les Amérindiens, ils les rejetèrent, les repoussèrent puis ils entrèrent en conflit avec les différentes tribus (...)
[...] Bien évidemment l'accord que passèrent entre eux les Pères Pèlerins ne donnait pas aux colonies un statut légal. Les colonies furent fondées par des chartes royales accordées à des lords pour fonder une colonie. Les souverains surent parfois se montrer particulièrement généreux en matière de distribution de chartes, chartes qui s'accompagnaient de droits pour ces lords. Il faut souligner qu'il était difficile pour les souverains de régner sur ces terres lointaines et que de ce fait il devenait plus simple de déléguer ces pouvoirs à des lords par le biais de chartes. [...]
[...] La métropole avait tout intérêt à ce que les colonies demeurent dépendantes d'elle, mais elles prenaient un tout autre chemin. Au cours de la deuxième moitié du 18e siècle, la situation en Grande-Bretagne était difficile, le pays était très endetté et envisagea donc de faire plus amplement participer les colonies au remboursement de leurs dettes. Les colonies bien évidemment ne l'acceptèrent pas : la loi du Timbre (1765) provoqua un violent mécontentement et des révoltes éclatèrent car ce nouvel impôt touchait tout le monde. La rupture entre la Grande-Bretagne et les colonies était consommée. [...]
[...] Les côlons, qui étaient considérés comme des sous-citoyens britanniques, réclamaient le droit à disposer d'eux-mêmes et à se doter de leurs propres outils de gouvernement. Bien évidemment, la métropole n'était pas disposée à leur accorder cette indépendance car cela signifiait qu'il fallait définitivement renoncer aux ressources que les colonies lui apportaient. Car, si les côlons se trouvaient privés des droits élémentaires du citoyen britannique, ils étaient au même titre que tous les autres citoyens assujettis au poids de la fiscalité. [...]
[...] Les négriers avaient aussi beaucoup à perdre : les esclaves qu'ils vendaient les enrichissaient. Parmi les populations réduites en esclavages, la révolte grondait, mais les esclaves n'étaient pas les seuls à être mécontents de leur vie dans les colonies. Les côlons blancs avaient également une importante source de mécontentement : les premières familles de côlons qui s'étaient installées détenaient tous les pouvoirs, accaparaient les terres et procédaient à d'importantes spéculations. Les nouveaux côlons se trouvaient totalement démunis, ne pouvaient plus acquérir un lopin de terre pour s'y installer tant elles étaient devenues chères, ils devaient se mettre au service des familles anciennes, ils en éprouvaient une importante rancœur. [...]
[...] Histoire des USA : l'Amérique coloniale La population Les côlons n'étaient pas les premiers habitants du nouveau continent. Les côlons durent cohabiter avec les autochtones, une cohabitation qui ne fut pas pacifique. Les autochtones étaient des amérindiens, ils furent appelés indiens, suite à la confusion qui entoura la découverte de l'Amérique, les européens étaient alors persuadés d'avoir découvert l'Inde. Les autochtones se répartissaient en différentes tribus. Les côlons anglais n'acceptèrent pas les amérindiens, ils les rejetèrent, les repoussèrent puis ils entrèrent en conflit avec les différentes tribus. [...]
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