Allemagne nazie, république de Weimar, putsch, Hitler, bases idéologiques
L'Allemagne est marquée par de fortes frustrations suite à la Première Guerre Mondiale : la population se sent humiliée et victime d'un diktat.
De plus le pays traverse une crise politique. La république de Weimar connaît des difficultés : elle est associés à la victoire Alliée. De plus il y a une instabilité ministérielle. En 1923 c'est le putsch manqué d'Hitler.
[...] Le rôle de la propagande Les populations dont mobilisées, la censure et les contrôle des médias entraîne un monopole nazi des systèmes de communication. De vastes rassemblements sont organisés partout à travers le pays. Tous acclament la figure du chef. La place de l'homme dans la société L'homme est noyé dans la population, l'individualité est fini avec la mise en place d'une pensée collective. Buts du régime Hitler cherche a promouvoir la supériorité de la race aryenne et cherche à étendre sa domination à travers un empire ; le Reich. [...]
[...] De plus le pays traverse une crise politique. La république de Weimar connaît des difficultés : elle est associés à la victoire Alliée. De plus il y a une instabilité ministérielle. En 1923 c'est le putsch manqué d ‘Hitler. Il y a également une crise économique et sociale. La crise de 1929 touche violement l'Allemagne ce qui favorise la montée des mouvements extrémistes Le leader et la prise du pourvoir Adolf Hitler est née en Autriche en 1889. Il tente de devenir peintre à Vienne en vain. [...]
[...] En 1934 il renforce sa dictature. Dès 1935 il met en place sa politique raciale notamment avec les lois de Nuremberg qui ont pour but d'écarter les juifs de la société. Le rôle central du chef Hitler est à travers la figure de leader une incarnation du pouvoir dictatorial. Les cadres du régimes Le NSDAP devient un parti unique en 1934. De plus le rôle des polices politiques est de plus en plus important. Himmler met en place le RSHA (office centrale de la sécurité du Reich) en 1939. [...]
[...] Il tente un putsch a Munich en 1923 et sera condamné à un an de prison. Durant sa peine il rédigera l'ouvrage « Mein Kampf » (mon combat) dans lequel il exprime les grandes notions de son idéologie : la lutte contre les sémites, l'annulation du traité de Versailles et la création d'un « Reich » regroupant toutes les populations germaniques (cela s'appel le plan pangermanique). Très rapidement il devient le chef de son parti et recrute des hommes parmi les classes populaires et moyennes. [...]
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