Les agressions nazies à la veille de la deuxième guerre mondiale, exposé d'histoire de 5 pages
I- DEFINITION
II- LES FORCES EN PRESENCE
III- LES DIFFERENTS PACTES DE NON AGRESSIONS ENTRE CERTAINS PAYS
1. le pacte de non agression entre l'U.R.S.S et
l'Allemagne nazie du 23 Août 1939
2. Août 1939 : le pacte germano-soviétique de non
agression.
IV- LES AGRESIONS NAZIES
1. 1919-1939 : l'U.R.S.S devient encerclée par des
Etats (semis) fascistes.
2. Mars 1939 : l'entrée de Hitler à Prague
3. le premier septembre, les troupes allemandes
envahissent la Pologne.
4. le 30 novembre, l'armée soviétique envahit la
finlande.
5. Mars 1940 : les allemands envahissent la France
et la chasse aux?communistes commence
V- BILANS DES AGRESSIONS
VI- CONCLUSION
[...] Lieven Soete, Het Sovjet-Duitse niet-aanvalspact van 23 augustus 1939. Politieke zeden in het interbellum. (Le Pacte de non-agression germano-soviétique. Mœurs politiques dans l'entre-deux guerres.), Éditions E.P.O., Berchem New York Times juillet Lieven Soete, op. cit., p Soviet Peace Efforts on the Eve of World War II, Novosti, Moscou 1973, p Lieven Soete, op. cit., p André Pierre, Staline contre Hitler, Éditions Stock, Paris 1945, p André Pierre, op. cit., p Lieven Soete, op. cit., p Cité par Lieven Soete, op. [...]
[...] Un scénario comparable a lieu en Lettonie. Ulmanis réalise un coup d'État, le 16 mai 1934, dissout le Parlement et les partis politiques et instaure la loi martiale. Le 7 juin 1939, au même moment que l'Estonie, la Lettonie signe un pacte de non- agression avec l'Allemagne. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, en août 1939, l'Union Soviétique est donc entourée par des voisins qui, sur les plans idéologique, politique, économique et même militaire, appartiennent à la sphère d'influence de l'empire nazi. [...]
[...] Et ils ne vont pas faire les choses à moitié : entre 25 et 30 millions de Soviétiques de la population de la population professionnelle perdront la vie. De 16 à 18 millions meurent en dehors de la violence guerrière normale (combats et bombardements) : au moins 3,5 millions de prisonniers de guerre soviétiques meurent de faim et d'épuisement dans les camps allemands ; de 4 à 5 millions de citoyens soviétiques dont environ 1 million de juifs sont tués dans diverses formes d'exécutions massives, représailles, ghettoïsation et gazage dans les camps d'extermination ; de 8 à 10 millions de citoyens soviétiques meurent de la famine, du froid et d'épuisement en raison des blocus, de la destruction des récoltes, de l'empoisonnement des sources d'eau, des incendies de leurs habitations. [...]
[...] Mais un grain de sable se glisse dans la mécanique le premier septembre, les troupes allemandes envahissent la Pologne Le 3 septembre, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne. Des soldats français tirent quelques coups de fusil vers l'autre côté du Rhin. Mais pour le reste, l'Occident ne fait rien. La drôle de guerre ou la Sitzkrieg a commencé et durera jusqu'en mai 1940. Le 17 septembre, les troupes soviétiques pénètrent en Pologne et occupent la partie orientale, sans avoir à combattre les troupes allemandes. [...]
[...] et l'Union Soviétique afin de sauver leur organisation de l'interdiction et de la dissolution. Tout ceci dépasse les forces de bien des communistes. Ce sont surtout les intellectuels qui quittent par pans entiers. Mais un seul membre du Bureau Politique et deux du Comité Central donnent leur démission. Au sein des syndicats communistes, le pourcentage de démissions est nettement plus bas que parmi les élus parlementaires et communaux. BILANS DES AGRESSIONS des pertes allemandes sont le fait de l'Armée Rouge et des partisans. [...]
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