3ème République, 1ère Guerre mondiale, après-guerre, Allemagne, droit de vote des femmes
On est dans un contexte où le nationalisme est très exposé et si Jaurès n'avait pas était assassiné le 31 juillet 1914, par un nationaliste, cela n'aurait pas empêché la guerre, car même chez les Allemands, le nationalisme était exacerbé.
Cette guerre est dès le début favorable aux Allemands qui ne sont stoppés que près de Paris par le général Joffre à la bataille de la Marne du 6 au 13 septembre.
Les 2 armées essayent ensuite de se déborder en vain et c'est la stabilisation d'un front qui s'étend de la Mer du Nord jusqu'en Suisse sur près de 700 kilomètres. C'est le début de la guerre des tranchées et des offensives sont tentées, mais donnent lieu à des boucheries.
[...] Les partis politiques songent alors au droit de vote des femmes mais la question est écartée car on pense que les femmes sont encore influencées par l'Eglise (opinion de gauche). D'un autre côté, les français ont envie de tourner la page : c'est les années folles de l'entre 2 guerres. Paragraphe 2 : l'après guerre. L'Allemagne va obtenir en 1929, une réduction de sa dette (jusqu'en 1988). Elle obtient aussi la fin du contrôle de ses finances par les alliés. On va aussi prévoir l'évacuation anticipée de la Rhénanie. [...]
[...] Les conséquences de cette guerre : La France est dans une certaine illusion de cette victoire alors qu'elle n'aurait pu gagner la guerre sans les USA. Elle récupère l'Alsace et la Lorraine et elle touche des réparations de l'Allemagne. Après la dislocation de l'empire Ottoman, elle obtient un mandat sur la Syrie et le Liban. Mais les dégâts ont été considérables : 1,3 millions de morts, Plus d'1 millions d'invalides, Il y a de nombreux dégâts et l'économie est dévastée. [...]
[...] La reprise économique attendue n'a pas lieu : la situation se détériore, il y a une agitation sociale. Blum démissionne en juin 1937. Daladier lui succède : en matière de politique extérieure, il signera les accords de Munich par lesquels la France et le Royaume Uni (Chamberlain) acceptent les conditions d'Hitler sur la Tchécoslovaquie (alliée de la France). C'est une politique plutôt molle vis-à-vis du chancelier allemand. La France est discréditée. Le 1er septembre 1939, la Pologne est attaquée par l'Allemagne et le 3 septembre, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre. [...]
[...] C'est un succès ambiguë car certains gens de gauches vont penser qu'ils vont diriger mais d'autre vont penser qu'ils vont pouvoir faire une révolution. Ce succès va provoquer des grèves en chaine. Maurice Thorez dira qu'il faut savoir terminer une grève et en juin 1936, Blum devient président du Conseil. En juillet, un certain nombre de décision seront prises par ce gouvernement : Augmentation de 15% des bas salaires, La semaine de 40 heures, 2 semaines de congés payés, L'élection de délégués ouvriers dans les entreprises, L'école obligatoire jusque 14 ans. [...]
[...] La 3ème République - D'une guerre à l'autre. Paragraphe 1 : la 1ère Guerre Mondiale (1914-1918). On est dans un contexte où le nationalisme est très exposé et si Jaurès n'avait pas était assassiné le 31 juillet 1914, par un nationaliste, cela n'aurait pas empêché la guerre, car même chez les Allemands, le nationalisme était exacerbé. Cette guerre est dès le début favorable aux Allemands qui ne sont stoppés que près de Paris par le général Joffre à la bataille de la Marne du 6 au 13 septembre. [...]
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