Nouvelle République, Ve République, 1958-1962, De Gaulle, guerre d'Algérie
À partir de 1956, la guerre d'Algérie, à laquelle plusieurs gouvernements successifs n'arrivent pas à trouver d'issue, ne fait qu'aggraver la situation. La rupture a lieu en mai 1958, lorsque les évènements d'Alger conduisent au retour du général de Gaulle sur le devant de la scène politique. Nommé président du Conseil, il reçoit les pleins pouvoirs pour élaborer une nouvelle constitution qui a été rédigée sous la direction de Michel Debré, dans un climat proche de la guerre civile, suite à la crise du 13 mai 1958, avec le « putsch d'Alger ».
[...] En effet lorsqu'il y a vacance de la présidence, le président du Sénat devient président de la république en attendant d'organiser de nouvelles élections entre les 60 jours dont il dispose. La deuxième chambre du parlement est l'Assemblée. Elle dispose de deux pouvoirs importants. Tout d'abord c'est elle qui est chargé de voter le budget de l'État. Ensuite elle doit ratifier les traités que le président a signé avec les autres chef d'États. L'Assemblée est élue au suffrage universel direct et sont, en nombre, plus nombreux que les sénateurs. Ce qui fait la force de la Vème république est le mode de scrutin. [...]
[...] De Gaulle veut que la France soit une puissance industrielle ainsi il va entamer une politique des grands travaux et va mettre sur le marché le supersonic, le Concorde. De plus en 1960 De Gaulle crée le nouveau franc qui est plus lourd. Il a beaucoup utilisé les médias, mais ils étaient beaucoup censuré. La télévision rentre dans les foyers avec une seule chaîne où l'on peut visionner les informations gaulliennes avec beaucoup d'apparition du président. Il y a donc un contrôle. [...]
[...] Il n'est en revanche pas utilisé pour les sujets sensibles. De Gaulle a beaucoup utilisé ces pouvoirs. Le dernier est évoqué dans l'article 16 de la Constitution. Il donne au président la possibilité d'obtenir les pleins pouvoirs qui lui sont donnés par l'Assemblée pour une période maximum de six mois. De Gaulle a obtenu les pleins pouvoir une fois, lors du coup d'état des généraux en avril 1961. Lorsque le président à les pleins pouvoirs, il ne peut dissoudre l'Assemblée. [...]
[...] Il dispose aussi du droit de grâce puisqu'à l'époque il y avait encore la peine de mort. Il a aussi des pouvoirs spécifiques qui lui donne un rôle important. Il peut dissoudre l'assemblée. L'unique fois où la motion de censure n'a pas fait chuter le gouvernement c'était lorsque que le président à dissous l'Assemblée. Une fois dissoute, le président dois attendre12 mois avant de réutiliser ce pouvoir. Un autre pouvoir important est la possibilité de sonder la population à l'aide du référendum. [...]
[...] 1958/1962 : Une nouvelle république, la V ème À partir de 1956, la guerre d'Algérie, à laquelle plusieurs gouvernements successifs n'arrivent pas à trouver d'issue, ne fait qu'aggraver la situation. La rupture a lieu en mai 1958, lorsque les évènements d'Alger conduisent au retour du général de Gaulle sur le devant de la scène politique. Nommé président du Conseil, il reçoit les pleins pouvoirs pour élaborer une nouvelle constitution qui a été rédigée sous la direction de Michel Debré, dans un climat proche de la guerre civile, suite à la crise du 13 mai 1958, avec le putsch d'Alger Les institutions La naissance En septembre 1958, un référendum est proposé aux français afin qu'ils puissent donner leur avis sur la nouvelle constitution. [...]
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