Première guerre mondiale, guerre inhumaine, combattants, civils, barbarie, victimes de la guerre, Marie Curie
Le combat est au cœur de la vie des soldats. Le combat rythme un quotidien dominé par l'immobilisme lié par la guerre de position.
La modernisation des armes accentue la brutalité de cette guerre. Pendant la 1ère Guerre Mondiale, seul un décès sur 6 était lié à la maladie, les autres étaient dus à l'artillerie. Du côté français, il y a 900 morts par jours.
En contrepartie, la médecine doit progresser face à ces blessures terribles même si l'amputation reste très fréquente. En France, Marie Curie a réussi à organiser un service de radiologie ambulant. L'orthopédie, la chirurgie faciale, les transfusions s'améliorent ainsi.
[...] Dans l'Armée française, il y eut 400 journaux de tranchées. Le Boyau du Midi, le Canard Enchaîné, le Troglodyte sont des exemples de journaux de tranchées. Ces publications de journaux sont plus ou moins hasardeuses et sont étroitement surveillées ; certains articles peuvent faire l'objet de censure. Les permissions restent rares. Quand les soldats rentrent dans leur famille, ils se sentent incompris. A partir de juillet 1915, en principe, les permissions sont accordées tous les 4 mois pour une durée de 6 jours de retour à la vie civile. [...]
[...] La première guerre mondiale Une guerre inhumaine Quelle est la vie des soldats sur le front ? brutalisation des esprits : des soldats traumatisés par la barbarie Le combat est au cœur de la vie des soldats. Le combat rythme un quotidien dominé par l'immobilisme lié par la guerre de position. La modernisation des armes accentue la brutalité de cette guerre. Pendant la 1ière Guerre Mondiale, seul un décès sur 6 était lié à la maladie, les autres étaient dus à l'artillerie. [...]
[...] Plus que l'amour de la Patrie, la vie d'un camarade justifie tous les sacrifices. La solidarité est au cœur du groupe. Chacun peut compter sur l'autre, être qualifié de lâche constitue un suprême déshonneur. Seule une infime minorité de soldats a osé faire la grève de la guerre Il est très difficile de fuir vers un pays neufs (Espagne, Suisse, .). Pour ceux qui désertent et se mutilent volontairement la sentence est terrible français ont été fusillés sur 8 millions de mobilisés. Le point d'ordre de lassitude est l'année 1917. [...]
[...] Des milliers de poilus seront touchés par la grippe espagnole après la 1ière Guerre Mondiale (fin 1918-début 1919). La crase des tranchés omniprésente favorise aussi l'apparition d'autres incestes comme les puces, les moustiques. Par ailleurs, les poilus connaissent des heures de déprime intense avec la mort de leurs camarades, de l'absence des êtres chères et de la promiscuité des autres poilus. Pour oublier, les poilus boivent la gnôle, du vin, de la soupe et du café. La soupe est presque immangeable puisqu'elle est à base de viande et de féculents accompagnés de pain. [...]
[...] La 1ière épreuve des soldats est la faim. Ainsi, durant la guerre, certains prisonniers espagnols furent contraints de manger de l'herbe. La 2nde épreuve est l'ennuie. A ces deux constantes, il faut rajouter le travail et la maladie. En cas de refus d'obéissances les punitions collectives étaient de mises et les fusillades étaient aussi pratiquées. II°)La vie quotidienne à l'époque les combattants Après l'été 1914 et ses illusions, les soldats sont toujours là et à attendre la mort en pataugeant dans la boue. [...]
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