Au nom de tous les miens, Martin Gray, Varsovie, guerre, ghetto, antisémitisme, nazisme, famille, amour
Martin Gray naît en 1922. En 1939, Varsovie est envahie par les troupes allemandes. A partir de ce moment, il va combattre l'envahisseur et deviendra capitaine de l'armée soviétique 1946. Mais l'année suivante il partira pour les États-unis afin d'y retrouver sa grand-mère. Il monta un commerce d'antiquités puis il acquit la nationalité américaine en 1952. Il se maria avec Dina CULT et s'installa dans le sud de la France où ils vécurent heureux avec leurs quatre enfants jusqu'en 1970 où sa femme et ses enfants périrent dans l'incendie du Tanneron.
[...] Il parle de personnes qui ont réellement vécut . Résumé Martin GRAY à 14 ans lorsque les forces allemandes envahissent Varsovie. Il subira tout des horreurs de la guerre : les privations, les humiliations, la peur durant le temps passé, l'horreur absolue des camps nazis à Treblinka, la fureur de vivre quand il s'en échappera caché sous un camion, l'abattement et aussi le suprême courage quand il apprendra qu'il a perdu tous les siens . Et puisqu'il faut bien vivre, il s'engagera ensuite dans l'armée soviétique et entrera triomphant dans Berlin, puis partira aux États-unis pour y retrouver sa grand-mère. [...]
[...] Mais l'année suivante il partira pour les États-unis afin d'y retrouver sa grand-mère. Il monta un commerce d'antiquités puis il acquit la nationalité américaine en 1952. Il se maria avec Dina CULT et s'installa dans le sud de la France où ils vécurent heureux avec leurs quatre enfants jusqu'en 1970 où sa femme et ses enfants périrent dans l'incendie du Tanneron. BIBLIOGRAPHIE : 1971 : Au nom de tous les miens 1977 : La vie renaîtra de la nuit 1978 : Le livre de la vie 1999 : Les forces de la vie 2 II- REPERES CLES Le narrateur : Le narrateur est le personnage principal, le texte est écrit à la première personne du singulier et le narrateur est intérieur à l'histoire. [...]
[...] Physiquement et moralement, il semble capable d'affronter toutes sortes de dangers. Même face à la mort il réussit toujours à trouver de quoi positiver et lors de moments difficiles, il se raccroche toujours à une lueur d'espoir ou au souvenir de sa famille 2-Personnages secondaires : Le père de Martin GRAY est un des personnages secondaires qui lui ont donné la force et le courage de se battre. Lui aussi est juif mais ne ressemble pas aux hommes qui pratiquent sa religion, il ressemblerait plutôt à un allemand. [...]
[...] Malgré le coté historique, l'auteur a réussi à insuffler à l'histoire de l'action. Contrairement à certaines autobiographies, la compréhension est très facile, l'écriture est fluide et agréable. Par contre, j'ai trouvé qu'il y avait très peu de descriptions on a donc un peu de mal à s'imaginer les lieux où se passe l'action et il en va de même pour les descriptions physiques on a aussi du mal a s'imaginer le visage des personnages. C'est un livre très émouvant, très triste et en même temps plein d'espoir. [...]
[...] puis aux États-unis (P311 : J'ai une grand-mère à New York. Tous les miens sont morts. et enfin en France près de Cannes (P373 : Un matin, nous avons quitté la Nationale 7 après Cannes, à Mandelieu. III- PERSONNAGES Personnages principaux : Martin GRAY est le personnage principal du livre. Il a 14 ans lorsque l'histoire débute et 48 ans lorsqu'elle finit. Il est juif et se bat pour rester vivant lors du temps du ghetto, puis dans les camps de concentration et enfin s'engage dans l'armée soviétique. [...]
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