- L'économie agri. : économie agri. : maîtrise des sols et des eaux. D'où dès le XII des systèmes de digues et de canalisations (Lombardie / Milan : blé, prairie, plantation arboricoles). Le riz à partir de la fin du XV. Plaines du sud (Pouilles/Sicile) : blé pour l'exportation. La Campanie : réputée pour ses vins. Grande partie du territoire : montagneux (Alpes, Apennins, Calabre, Corse...) : archaïsme éco., d'où famine endémique, mais constitue réservoir d'ouvriers agri. Des zones marécageuses (delta du Pô, lagune vénitienne) : malaria, d'où désertification.
Au XV : 10 millions d'hab., qui malgré activités urbaines, vivaient essentiellement de l'agri.
- La condition paysanne : exploitation des terres : paysans libres alleutiers ou tenanciers héréditaires. Régime seigneurial et servage disparus au XIII. Les paysans : petites exploitations, d'où conditions de vie. Les moissons, battages, vendanges réalisé par des saisonniers qui vont de villes en villes (...)
[...] Dominer l'Italie= dominer la MédiT. Pour la France (F. Ier et Henri II) c'est un moyen de concurrencer les Habsbourg. Pour l'Espagne, Italie = lien entre Espagne et processions europ. Guerres marquées par retournements d'alliances, l'Espagne est victorieuse et impose son hégémonie sur la péninsule, avec perte d'indépendance des Etats italiens mis à part Venise. Equilibre interne à l'Italie ( paix de Lodi querelles et combats intestins. Richesse Eco et Culturelle Faiblesse Pol et Militaire ( Proie des puissances europ. [...]
[...] Victoires françaises sur les armées espagnoles et pontificales, puis vénitiennes. Mais se sont des succès sans lendemain. Florence rappelle les Médicis, les français quittent la Lombardie, Milan est prise par les Sforza, la France est envahi. Jules II meurt le -l'avènement de François Ier et la fin des premières guerres d'Italie : Louis XII ( la position de la Frce en faisant paix avec Léon X (Giovanni de Médicis), plus accommodant que son prédécesseur. Veuf, il épouse la sœur d'Henri VIII, ( réconciliation. [...]
[...] Il faut attendre la fin du XIX pour voir le baroque réévalué par les historiens. Le baroque est mouvement et passion, les peintres et sculpteurs cherchent à saisir leurs sujets en action, sur le vif. Les sujets sont choisis dans la mythologie antique ou l'hagiographie chrétienne, dans des moments pathétiques ou tragiques. Cette passion du mouvement se retrouve dans l'architecture, par des jeux de courbes, de cercles, d'ellipses, jeux de colonnes torses, jeux d'eau Le baroque se définit par la richesse et l'abondance du décor maîtrisées en Italie, ainsi que l'illusion (trompe- l'œil). [...]
[...] La naturalisme et le luminisme du Caravage : de Rome à Naples : Michelangelo Merisi, à Caravaggio, en Lombardie, reçoit la commande de la chapelle St Mathieu à St Louis des Français, travail qui lui prend 10ans. Une vie courte marquée par différentes histoires, il meurt à 37 ans de la malaria. Il se veut être un peintre naturel et populaire, mais il est un peintre réaliste, comme son Bacchus, gamin aux boucles noires. Caravage est à l'origine d'un réalisme profane qui introduit quelque humanité dans l'art sacré. Ce qui lui importe, c'est la présence massive du sujet, révélé par un contraste importt. [...]
[...] Venise refusa un interdit du pape, le conflit s'apaisa par l'entremise française. Cette manifestation d'indépendance vaut à Venise l'admiration des grands esprits et la haine du parti papal. Elle intervient contre l'empereur dans la prise du Frioul aux côtés de la France et de la Savoie. Enfin, elle intervention dans la succession du duché de Mantoue, où son armée est battue, dévoilant la fragilité militaire. Venise opte alors pour la neutralité, choix peut être dangereux : l'empire autrichien / empire ottoman. [...]
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