Pont-à-Mousson, fonderie, Meurthe-et-Moselle, recensement de population, emploi, ouvriers, travailleurs étrangers, professions
Au lendemain de la guerre franco-prussienne, les nouveaux républicains menés par Adolphe Thiers et Jules Favre décident de négocier un traité de paix avec l'Empire allemand. À Francfort, le 10 mai 1871, ils parviennent à trouver un terrain d'entente : la France cède des territoires industriels à l'est, comprenant de grandes parties de l'Alsace et de la Lorraine.
Titulaire d'un bassin industriel important dans cette région, les autorités politiques françaises décident, le 7 septembre 1871, d'établir un nouveau département à partir des territoires des départements de la Meurthe et de la Moselle que le Traité de Francfort a laissé à la France. Ce département est appelé Meurthe-et-Moselle et se tourne vers sa nouvelle préfecture : Nancy. Pourtant, plus au nord, à Pont-à-Mousson, une petite ville de 8.000 habitants, une fonderie s'installe et profite de la création de ce nouveau département pour alimenter sa main-d'oeuvre.
[...] Ensuite, nous retrouvons des de les intégrer à un type de profession. Le second problème professions de techniciens avancés comme : les ferblantiers rencontré est la profession de “manoeuvrier” qui est une personnes soit les ajusteurs personnes soit et profession de technicien avancé dans le cadre industriel, mais les machinistes personnes soit qui représentent au total les registres ne donnent pas d'informations sur son lieu 17,3%. d'activité. Répartition des âges des employés des forges de Pont-à-Mousson en 1872 Analyse des données Grâce aux annotations des registres de recensements, nous avons pu construire un histogramme des tranches d'âges parmi les employés de la fonderie, nous constatons que 64% des employés ont entre 20 et 40 ans, ce qui représente une grande majorité de l'effectif total de la fonderie et correspond avec l'âge moyen qui est de 34 ans. [...]
[...] d'employés apprentis. Répartition des âges des employés des forges de Pont-à-Mousson en 1876 Analyse des données Grâce aux annotations des registres de recensements, nous avons pu construire un histogramme des tranches d'âges parmi les employés de la fonderie, nous constatons que 61,9% des employés ont entre 20 et 40 ans, ce qui représente une grande majorité de l'effectif total de la fonderie et qui correspond avec l'âge moyen qui est de 33 ans, ce qui est raccord par rapport à la répartition de l'âge des employés de la fonderie en 1872. [...]
[...] Parmi eux, nous plus proches et plus au nord comme une présence d'employés retrouvons une majorité d'employés d'origine allemande (18 d'origine belge employés soit et un employés d'origine employés soit bien qu'en réalité, la plupart proviennent luxembourgeoise employés soit Maintenant, si les de Moselle, région cédée à l'Empire allemand après le Traité registres de recensements donnent davantage de précision sur de Francfort et seul l'un d'entre eux, Émile Prudlo, provient de les lieux de naissances des employés originaires de Belgique, Haute-Silésie. Malgré tout, d'autres employés proviennent de Luxembourg et de Moselle, malgré une recrudescence des d'autres pays européens. C'est le cas pour Joseph Beltram et mentions des villes de Saint-Léger et de Montigny pour les Paul Carpio, deux employés d'origine espagnol et de Georges employés d'origine belge, il est toujours impossible de Webel, qui reste le seul employé d'origine suisse. [...]
[...] de la fonderie de Pont-à-Mousson. Répartition des travailleurs de la fonderie en fonction de leur quartier de résidence en 1876 Analyse des données Grâce à ces graphiques, nous pouvons constater que les Ensuite, nous constatons sur le deuxième graphique que la employés de la fonderie de Pont-à-Mousson résident dans des répartition zones diverses, on ne peut pas indiquer clairement un espace correspondre davantage à celle de l'ensemble des employés. réservé à cette partie de la population. La majorité des Parmi les employés d'origines étrangères, seulement un quart employés vivent dans l'un des trois quartiers de la ville : 10,3% vivent en marge des quartiers urbanisés. [...]
[...] Les employés de la fonderie de Pont-à-Mousson de 1872 et 1876 Introduction Contexte Au lendemain de la guerre franco-prussienne, les nouveaux républicains menés par Adolphe Thiers et Jules Favre décident de négocier un traité de paix avec l'Empire allemand. À Francfort, le 10 mai 1871, ils parviennent à trouver un terrain d'entente : la France cède des territoires industriels à l'Est, comprenant de grandes parties de l'Alsace et de la Lorraine. Crédit : Jules Favre, Bismarck et autres délégués discutent les clauses du traité à l'hôtel Zum Schwan. [...]
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