Bataille de Saint-Malo, écriture d'invention, schéma narratif, Seconde Guerre mondiale, occupation allemande, bombardements, péripéties, libération
Le Führer avait décidé de fortifier Saint-Malo et ses ports aux alentours, lieux stratégiques pour l'armée. Mais le 6 août 1944, les Alliés entament une bataille contre l'occupation allemande. Et là commence la souffrance des Malouins qui n'avaient rien demandé à quiconque. Dès le lendemain, de nombreux îliens sont enfermés par les troupes allemandes, sans subsistances, sans leurs femmes, sans leurs enfants avec pour seule compagnie : les obus des Allemands comme des Alliés?!
[...] Car oui, parfois nous y rêvions de ne plus rien entendre : ne plus entendre hurler, ne plus entendre ces tirs, ces bombardiers, ces mitraillages. Pourtant, lorsqu'un court instant fut enfin silencieux, il nous paraissait si terrifiant et ne présageait rien de bon. Situation finale Le 17 août 1944 : libérée était Saint-Malo ; mais aussi détruite, et ce presque intégralement. La destruction fut matérielle, mais aussi humaine. Mais la victoire était plus grande, elle était celle de la liberté, celle d'une idéologie. Disproportionnée, irraisonnée peut-être, était-elle, cette bataille ? Saint-Malo, Cézembre : îles martyres, îles sacrifiées, vont-elles un jour ressusciter ? [...]
[...] Mais le 6 août 1944, les Alliés entament une bataille contre l'occupation allemande. Et là commence la souffrance des Malouins qui n'avaient rien demandé à quiconque. Dès le lendemain, de nombreux îliens sont enfermés par les troupes allemandes, sans subsistances, sans leurs femmes, sans leurs enfants avec pour seule compagnie : les obus des Allemands comme des Alliés Élément déclencheur On en avait déjà vu des bombardements après une première, puis une seconde guerre sur tout le globe, pourtant ceux-ci sortaient du lot. [...]
[...] Péripéties Les troupes armées étaient composées d'hommes et commandées par des hommes tous aussi entêtés et imperturbables les uns que les autres. Ils se pensaient certainement invincibles. Comment se croire invincibles lorsqu'on est entourés des affamés, des malades, des blessés et des cadavres ? Peut-être était-ce une phase de déni utile à leurs survies ? Élément de résolution De loin, on pouvait voir cette épaisse fumée jaillir de nulle part et se multiplier d'aussitôt. De plus près, on ne pouvait faire la distinction entre ces épais nuages de fumée, on pouvait simplement sentir l'odeur désagréable qui en ressortait. [...]
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