ce cours traite des conditions de transport, disparité des expériences, et le fonctionnement des grands transbordements.
[...] Il y avait des épidémies fréquentes sur les bateaux comme le choléra, la rougeole . De plus, les accidents à bords étaient fréquents. Les passagers les plus faibles mourraient beaucoup (enfants, vieux . ) et tous les migrants étaient très épuisés, car cette expérience était éprouvante car ils passaient 1 mois entassés soumis aux maux de mers, aux vols . Tout cela provoque souvent des désordres sur le bord, qui peuvent compromettre la traversée. Les populations pauvres d'Europe ont connus cette expérience quand ils ont commencé à s'expatrier massivement vers l'Amérique. [...]
[...] Les conditions terribles de transport persistent en Méditerranée Des armateurs méditerranéens grecs et marseillais continuent à faire du transport méditerranéen dans des conditions misérables avec des paquebots vieux, rachetés, et transportent des migrants à l'intérieur méditerrané. Les conditions sont très mauvaises car une partie de ces migrants sont issus des populations coloniales, et il n'y a pas de législations drastiques dans l'espace méditerranéen qu'avec les pays transatlantiques car les réglementations s'appliquent à des grandes lignes avec les grands ports. LE FONCTIONNEMENT DES GRANDS TRANSBORDEMENTS Le train Les améliorations en train ne sont pas si importantes que pour les bateaux. [...]
[...] Cela oblige les compagnes maritimes à organiser correctement la nourriture, et qui prévoient le prix de la nourriture dans le prix du billet. Quand une compagnie maritime veut faire du commerce avec les migrants, il faut qu'elle respecte ces réglementations. De même quand ils veulent débarquer les migrants, il faut qu'elles respectent les normes du pays en question. S'ils débarquent des passagers malades, alors ils sont considérés comme responsables et doivent payer les contraventions à ces pays, et doivent ramener ces migrants à leurs frais dans le pays d'origine. [...]
[...] Une des stratégies de ces compagnies pour attirer la clientèle, c'est d'améliorer les conditions en 3[ème] classe, en les aménageant, qui rendent le voyage plus agréable et plus sûr. Cela explique que l'expérience du passage transatlantique est moins traumatisante. Dans les années 1910, pour le voyage Naples-N. Y. le voyage dure entre 12-17 jours selon le bâteau. Et de Naples à Buenos aires, le voyage dure 26 jours. A partir des années 1920 sur les paquebots les plus récents, on peut aller de Naples à N.Y. [...]
[...] C'est aussi une expérience marquante car ils font la fille pour embarquer dans le calme, circuler de manière très disciplinée, passer la visite médicale, présenter ses papiers à tout moment calmement . Le coût du voyage Les prix baissent à la fin du XIX siècle ce qui permet aux migrants de faire des allers retours. Ensuite, les prix ne baissent plus car avec l'amélioration des conditions, les compagnies doivent compenser les dépenses, c'est pour cela que les prix ne baissent plus. Mais en revanche, le coût global baisse, car il y a bcp moins de risque, bcp moins de fatigue et moins de risque d'être escroqué. [...]
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