Transformation, mentalités, Effervescence, intellectuelle, XVIIIe siècle
Le 18e siècle est marqué par une fièvre du savoir comme la renaissance. Dans ce siècle c'est l'esprit critique qui va se développer. On va remettre en cause toute la société. La Raison, est alors considérée comme le moteur du progrès et du bonheur terrestre. De ce fait on assiste alors à une révolution de la pensée. Ces hommes sont touchés par la lumière, mais ils n'ont pas les mêmes idées. Les lumières sont diverses et les points de vue sont uniques. Il existe des points communs à tous. C'est au 17e siècle que ces idées vont naitre. Mais c'est au 18e qu'elle se diffuse. Les systèmes sont nés dans l'esprit de Descartes, Spinoza, Locke et Fénelon. Tous ces éléments débouchent sur la remise en cause de l'autorité. Descartes, considère est l'hôte d'un corps. Pour lui tout vient des sens. Locke se base sur le perceptible
[...] La crise se repère également dans les ordres monastiques notamment dans les années 1750- 1760. On distingue un enseignement doctrinal beaucoup plus pauvre. La théologie est affaiblie par les querelles du 17e siècle. Il y a une baisse de demande des messes. Les closes religieuses dans les testaments sont moins fréquentes. Les ouvrages des bibliothèques se laïcisent au 18e. Les collèges se laïcisent également. Les pèlerinages sont toujours fréquentés, même si cela à un aspect thérapeutique. L'Eglise reste le monument le plus important du village. [...]
[...] On se pose la question de l'existence même de Dieu. Voltaire et Rousseau sont adeptes d'une religion plus naturelle. Diderot lui vers la fin de sa vie va finir par devenir athée. Voltaire dit de Dieu qu'il est le grand machiniste de l'univers Cela est basé sur l'idéologie matérialiste de Descartes. Tous critiquent le Dieu des écritures. Toutes les religions se valent et ne séduisent que par tradition que par conviction, selon eux. Il n'y a pas de religion vraie selon eux, et surtout pas le christianisme (l'Infâme selon voltaire). [...]
[...] La formation de l'homme moderne ; le modèle de la noblesse. La noblesse appartient toujours au second ordre de la société. Le 18e est considéré comme un siècle nobiliaire, puisque c'est le retour de la noblesse de cour dans la politique du pays. Elle va monopoliser les postes d'ambassadeur et son pouvoir politique. Elle va accroitre sa main mise sur les domaines du royaume. Notamment religieux. L'armée est devenue le monopole de la noblesse. Certains postes, dans les verreries ne déroge pas. [...]
[...] Ce sont des aristocrates qui lancent le débat. La philosophie va alors s'attaquer au religieux, à l'Eglise. Cette dernière ce trouvant dans une situation difficile, avec les querelles entre Jansénistes et Jésuite. L'affaire des conversions forcées des protestants. On attaque la Religion révélée, on prône une religion naturelle. On croit en Dieu, une immortalité de l'âme et une Moral universelle. Apparaissent alors des principes de partage et d'égalité. Dans un deuxième temps, du milieu du siècle à 1770, on s'attaque à la monarchie absolue. [...]
[...] Ce sont bien souvent des sociétés de lecture en milieux urbain. Sorte d'académie privée, elles sont approuvées par l'Etat. Elles ont eurent un rôle important durant la Révolution. Les académies provinciales sont au nombre de 13 en 1715 et 28 à la fin du siècle. Elles avaient pour but d'informer les gens. Les salons, les clubs et les cafés. En cafés à Paris . Conclusion : La philosophie est aussi une vision du monde . La soi-disant déchristianisation. Il est indéniable que la ferveur religieuse reste importante. [...]
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