Socialisme, communisme, syndicalisme, Allemagne de 1875 à nos jours, puissance industrielle, urbanisation, Première Guerre mondiale, SDAP, SPD, République de Walmar, Hitler, NSDAP, RFA, RDA, mouvement ouvrier
À la fin du 19e siècle, l'Allemagne fait partie des premières puissances industrielles européennes. Le territoire s'urbanise, les villes se développent. De plus, on remarque un changement de point de vue de la société. Le nombre d'ouvriers en 1880 était de 4 millions et à la veille de la Première Guerre mondiale il y en avait 8,5 millions. Les ouvriers veulent s'organiser donc vont créer un mouvement ouvrier autour des partis politiques et des syndicats pour défendre leurs intérêts.
[...] Le syndicalisme perd de son importance, en 1990 il y avait 12 millions d'adhérents et en 2004 plus que 7 millions. Conclusion Le mouvement ouvrier allemand est la première organisation à organiser en Europe dès la fin du 19e siècle et cela grâce à la création de partis et de syndicats ouvriers dès les années 60. Ce mouvement est divisé entre deux courants, les révolutionnaires et les réformistes. Toute l'histoire se caractérise par cette opposition. [...]
[...] Entre 1949 et millions d'Allemands ont quitté la RDA. Donc le SED décide en 1961 de construire le mur de Berlin. Le contexte économique mène à la chute de la RDA et la société est marquée par des inégalités sociales donc en automne 1989 des manifestations éclatent et amènent à la chute du régime ainsi que du mur. Après la réunification, des élections libres en 1990 sont organisées. Une coalition remporte la victoire, il s'agit de la CDU, du SPD et du PDS qui remplace le SED. [...]
[...] En plus de ces syndicats affiliés au SPD, des associations se créent liées au SPD, des associations culturelles, des chorales, des orchestres ou encore des théâtres . Se recréer aussi une presse socialiste, une presse de masse qui a énormément de lecteurs. Donc à la fin du 19e siècle début 20e siècle, le SPD est un modèle pour tous les mouvements socialistes étrangers. Cependant, au sein du SPD il y a une petite division qui persiste : les réformistes qui suivent Bernstein, ils sont majoritaires, et les révolutionnaires marxistes. Ces tensions ont eu un impact important au début de la Première Guerre mondiale. [...]
[...] Ils mènent le terrorisme et des actions violentes. L'Allemagne est donc confrontée au terrorisme avec l'assassinat du président de la banque d'Allemagne « Deutsche Bank », car il est le symbole du capitalisme dont ils veulent lutter. Face à ça, le SPD condamne, mais réprime cette violence par de la violence ce qui va expliquer leur échec aux élections de 1982, car les jeunes n'ont pas voté pour eux. Cela profite au CDU. Au niveau syndical, en 1949 se créer la DGB (confédération allemande des syndicats) qui se déclare neutre, mais est très proche du SPD. [...]
[...] Il s'agit de l'ADG (ligue des syndicats allemands). Après la fusion, d'autres syndicats se créer, tous liés au SAP. Ils se disent libres, mais ils partagent les idées du SAP c'est-à-dire qu'ils procèdent d'abord avec des négociations avec le patronat et si cela ne fonctionne pas alors ils procèdent à des grèves, des révolutions. En Allemagne est fondé le premier grand parti socialiste et ce parti cherche à faire la synthèse entre le courant révolutionnaire et le courant réformiste. Cependant il y a une opposition au pouvoir ce qui donne naissance à un nouveau parti, il s'agit du SPD (parti social-démocrate). [...]
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