France en 1940, Deuxième Guerre mondiale, arrêter la guerre, maréchal Pétain, Charles de Gaule, nazisme, Allemagne nazie, unité de la France, capitulation, armistice, appel du 22 juin
Après une lutte acharnée sur le front franco-allemand, le 10 mai 1940 le IIIe Reich engage les hostilités contre la France ou celle-ci va très vite se voir submerger par les chars et la puissance militaire nazie. A cette période, le Général Pétain est nommé à la tête du gouvernement français et tout l'avenir de la nation va reposer sur ses décisions. Mais on peut donc se demander comment la poursuite de la guerre en juin 1940 a brisé l'unité de la France. C'est ce que nous allons voir dans une première partie ou nous verrons que le maréchal Pétain a la volonté d'arrêter les combats contre l'Allemagne pour ensuite poursuivre dans une seconde partie où nous verrons une vision différente qui est celle du général de Gaulle qui pense que continuer la lutte contre ses ravisseurs est la seule solution pour retrouver sa liberté et sa grandeur.
[...] Nous pouvons conclure que suite à la décision prise par le maréchal Pétain, plus précisément par sa capitulation, il a mené la France dans la confusion et a brisé son unité. Nombreuses vont être les conséquences qui s'en suivent surtout par l'armistice signé le 22 juin 1940 donnant l'avantage à l'Allemagne nazie qui divisa la France en 2. [...]
[...] La situation de la France en 1940 : continuer ou arrêter la guerre Après une lutte acharnée sur le front franco-allemand, le 10 mai 1940 le IIIe Reich engage les hostilités contre la France ou celle-ci va très vite se voir submerger par les chars et la puissance militaire nazie. A cette période, le Général Pétain est nommé à la tête du gouvernement français et tout l'avenir de la nation va reposer sur ses décisions. Mais on peut donc se demander comment la poursuite de la guerre en juin 1940 a brisé l'unité de la France. [...]
[...] Mais le maréchal Pétain non loin de s'imaginer l'erreur qu'il a commise, car la France va se trouver coupée en deux parties : une zone au Nord occupée par les Allemands ayant pour capitale Paris et une zone au Sud dites « libre » ayant pour capitale Vichy. II. C'est grâce au Général de Gaulle que la lutte va continuer Dans cette seconde partie, nous allons voir que contrairement à la capitulation du maréchal Philippe Pétain que c'est grâce au Général de Gaulle qui ne va pas céder face à l'ennemie va permettre la poursuite de la guerre et qui va montrer la nécessité de continuer cette lutte face à l'envahisseur. [...]
[...] Le principe du patriotisme représente le socle principal de son discours où la mobilisation va d'après lui permettre à la France d'être « présente à la victoire », mais où ce ne sera pas sans conséquence, car ce sera « dans le sacrifice » et au « péril de mort » que la France sera sauvée. C'est ainsi, à travers, un discours poignant, que le général de Gaulle montre sa pleine gratitude et sa reconnaissance d'être le représentant et le chef des Français nommé par le gouvernement britannique à cette époque que l'affiche avait été éditée. Par conséquent, on en conclut que la poursuite de la guerre ne fut pas possible sans cet appel du général de Gaule adressé aux Français pour combattre l'ennemi. [...]
[...] Préférant la capitulation qu'au combat, il annonce aux Français(es) qu'il a décidé de demander l'armistice à l'Allemagne qui se traduit par la phrase : « C'est le cœur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser le combat. Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander de mettre un terme aux hostilités. « En effet, le 22 juin, l'armistice est signé dans la clairière de Rethondes qui est un lieu symbolique, car c'est à cet endroit même que fut signé l'armistice de la Première Guerre mondiale. [...]
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