Riel était l'un des 4 garçons choisis pour apprendre le latin, preuve de son intelligence. Riel était destiné à la prêtrise, cependant, ses parents n'étaient pas assez riches pour pouvoir payer le transport, les frais de scolarité et la pension de leur fils. C'est alors que monseigneur Taché écrivit à madame Joseph Masson en lui faisant part de l'intelligence du jeune garçon.
C'est elle qui payera les frais de scolarité de Riel, son mari décédé étant considéré comme « l'homme le plus riche de tout l'est du Canada » . C'est en septembre 1858 que Riel s'inscrivit au séminaire de Saint-Sulpice à Montréal. La discipline au séminaire était très stricte et la vie y était marquée par l'austérité et l'ordre (...)
[...] Cependant, l'incident prit de l'ampleur, le premier ministre déclara le geste comme une insurrection et que le gouvernement du canada devait répondre avec force. Durant le combat canadiens et 5 métis avaient été tué.[20] Le gouvernement canadien craignait la formation d'un deuxième gouvernement provisoire, car dans le cas d'une montée du mécontentement métis, Riel les conduiraient sûrement encore une fois dans un mouvement pour protester contre les décisions du gouvernement. «The petition that the St. Laurent Métis finally mailed to the governor General on December 16 was more limited in its focus upon land titles, home rule, and compensation for alleged maladministration of the Manitoba act. [...]
[...] Initiation à la recherche historique HST-1015-xx Dissertation historique Les rôles de Louis Riel à la tête du mouvement métis de 1869 à sa mort en 1885. Travail présenté à M. XXXXXXXXXXXX Par Louis-Marc Poulin Université du Québec à Trois-Rivières Le 9 décembre 2008 Riel était l'un des 4 garçons choisi pour apprendre le latin, preuve de son intelligence. Riel était destiné à la prêtrise, cependant, ses parents n'étaient pas assez riche pour pouvoir payer le transport, les frais de scolarité et la pension de leur fils. [...]
[...] P.55 Lewis H. Thomas, Dictionnaire biographique du Canada en ligne, article Louis Riel 1844-1885, University of Toronto/Université Laval, www.biographi.ca Pierre Alfred Charlebois, La vie de Louis Riel, VLB éditeur, Montréal p Idem. P.121 Idem. P George F. G. Stanley, Louis Riel, The Ryerson press, Toronto p. 155-156 Idem. P. 315-319 D. [...]
[...] Nous avons donc pu voir ce qui a mené Louis Riel à devenir le chef qu'il a été et nous avons aussi pu voir son rôle dans les rébellions métis entre 1869 et 1885. Nous avons vu pourquoi c'est lui et pas un autre qui est devenu chef de ces mouvements. Il serait cependant intéressant de voir de façon plus personnelle la vie de Riel, entre autre avec les écrits laissés par Riel lui-même et par ses amis. Tout cela dans le but de voir quelles étaient ses motivations personnelles et aussi pour voir les raisons qui l'ont amené à donné sa vie pour sa cause. [...]
[...] C'est donc un rôle de chef politique que Riel accomplit durant cette rébellion et ce sont ces qualités particulières qui font de lui ce chef. La loi sur le Manitoba La loi sur le Manitoba découle d'une convention que les membres du gouvernement provisoire et les représentants de la population ont élaborée. Avec 40 représentants dans les deux langues, Riel et ces gens se sont affairé à produire une liste de droit et de demande, il s'agissait d'une convention que Riel voulait soumettre à Ottawa. [...]
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