La République en France de 1815 à 1914, affaire Dreyfus, IIIe République, Second Empire, Charles X, Restauration, IIe République, révolution de juillet 1830, héritage républicain, ministère Polignac, liberté de la presse, Guizot, Louis Napoléon Bonaparte, Adolphe Thiers, révision constitutionnelle de 1875
"Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts". Ce proverbe convient parfaitement à la République française de 1815 à 1914. La République est née du terme romain "res publica". Il s'agit d'une forme de gouvernement direct impossible dans un grand État tel que la France en 1815 qui compte vingt-neuf millions d'habitants. La France à partir de la chute définitive de l'Empire avec la fin des Cent-Jours en juillet 1815 a essayé de construire une République qui va s'améliorer en faisant des erreurs et en gagnant des victoires. En France, une des caractéristiques de cette République est de s'opposer à la monarchie.
C'est donc une forme de gouvernement où le pouvoir et la puissance ne sont pas détenus par une seule et même personne et le chef de l'État ne l'est pas d'une façon héréditaire.
Après la monarchie de juillet la valeur suprême défendue par la République est celle de nation une et indivisible. En 1848, elle est donc synonyme de démocratie, de suffrage universel et s'oppose à la monarchie. À la suite du Second Empire, elle s'oppose au despotisme de celui-ci et est symbole de liberté et de conservation des intérêts sociaux. La République est donc un régime qui jusqu'en 1914 et les débuts de la Première Guerre mondiale cherche à s'imposer en ayant un consensus général. Ce dont manquent environ tous les régimes de 1815 jusqu'à la IIIe République.
[...] L'échec de l'insurrection des canuts en Avril 1834 à Lyon est la fin de l'activité publique de la république. *Les républicains s'organisent alors en sociétés secrètes : la Charbonnerie. La répression envers les républicains se renforce Louis-Philippe se place du côté de la résistance et met en place les lois de septembre 1835 après l'attentat de Fieschi le 28 Juillet. *La liberté de presse est une nouvelle fois diminuée. On assiste à des multiplications des sociétés secrètes et des soulèvements populaires. [...]
[...] Les républicains se battent en organisant des banquets où l'on critique le pouvoir. *Le 14 Janvier 1848 Guizot en interdit un qui sera l'élément déclencheur de la révolution de Février. II /Une république qui tente encore de s'affirmer(1848-1879) La révolution de février 1848 entraîne la naissance de la IIème république le 24 Février 1848. À sa naissance la république est sociale et les libertés publiques augmentent. *La journée de travail en usine est de 10 heures à paris et 12 en province. [...]
[...] Après la monarchie de juillet la valeur suprême défendue par la république est celle de nation une et indivisible. En 1848 elle est donc synonyme de démocratie, de suffrage universel et s'oppose à la monarchie. Á la suite du second empire elle s'oppose au despotisme de celui-ci et est symbole de liberté et de conservation des intérêts sociaux. La république est donc un régime qui jusqu'en 1914 et les débuts de la première guerre mondiale cherche à s'imposer en ayant un consensus général. Ce dont manque environ tous les régimes de 1815 jusqu'à la IIIème république. [...]
[...] Le parti radical constitue le bloc des gauches. *Longévité des ministères Combes et Clemenceau. Une France baignant dans le colonialisme et le nationalisme conduit à la guerre de 1914. *Crise marocaine de 1911 avec l'Allemagne.Idée de revanche contre les allemands est entretenue par les journaux nationalistes tels que : L'action française. CONCLUSION : En 1914 la France semble avoir trouvée un régime conforme à la tradition, au droit naturel et à la justice et à la raison.En effet, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen est comme un adage et le positivisme s'est largement développé. [...]
[...] (Guillotine, Robespierre. Alors que Louis XVIII avait donner au pays une constitution libérale avec la chartre de 1814,à sa mort en septembre 1824,son frère Charles X monte sur le trône et montre son mépris pour la vie parlementaire. *Avec son sacre à Reims il réaffirme la soumission du roi à l'autel et il s'oppose à la chartre de 1814 Martignac qui essaie de prendre des mesures plus libérales n'est pas soutenu par le roi, il démissionne en Août 1829 et à sa place arrive Jules Polignac :ami du roi et impopulaire. [...]
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