Ce document est un essai complet et entièrement rédigé qui porte sur les relations sino-japonaise et l'influence de la modernisation occidentale.
Voici le plan du document :
I - Histoire de la Chine et du Japon
1.1. La Chine
1.2. Le Japon
III - L'empreinte occidentale sur la Chine et le Japon
3.1. Les conséquences de l'ouverture commerciale de la Chine aux occidentaux
3.2. L'influence de l'occident sur la modernisation du Japon
[...] ) les décors traditionnels se maintiennent ; l'architecture est particulièrement emblématique de cette dynamique, puisqu'à partir de cette époque, elle réussit à la fois à emprunter des techniques à l'occidents (usage de la brique et du ciment . ) et à relancer une dynamique architecturale traditionnelle, basée sur l'agencement harmonieux des formes. Il convient à présent d'évoquer une deuxième période d'établissement de liens et d'influences fortes entre l'occident, Etats-Unis en particulier, et Japon. Celle-ci correspond à la période qui suit 1945. [...]
[...] Ce qui se traduit également par des acquisitions faites en Occident. Pas plus tard qu'en mars 2009, la Chine s'est accordée pour l'acquisition de pas moins de 300 avions de l'européen Airbus - un montant rarement atteint. Cette nouvelle situation n'est cependant pas dénuée de critiques : certains analystes s'inquiètent, en effet, de l'émergence de sociétés chinoises, en Occident comme partout dans le monde, qui auraient vocation à proposer des produits et services à moindre cout certes, mais pour des résultats attendus qui ont peu de chances d'être qualitatifs. [...]
[...] » De fait, une Chine qui n'a plus rien à voir avec celle d'il y a trente ans, lorsque les prémices de l'ouverture internationale n'étaient qu'un projet dans l'esprit de Deng Xiaoping, à son accession à la tête du pays. On était loin d'imaginer alors que le président Xi Jinping annoncerait lors de cette même foire tabler sur milliards d'importations chinoises de biens et services. Il faut reconnaitre, que la Chine depuis 1978 a vécu une transformation radicale de son économie, et ce par le biais d'une ouverture sans précédent au monde. [...]
[...] Alors que les reconnaissances du régime, et le développement des partenariats internationaux, vont se développer rapidement, la croissance chinoise affirme à partir de la fin du XXème siècle que, si une nation si importante était exclue des grands enjeux internationaux jusqu'au milieu du XXème siècle, la raison en était un manque de dynamisme économique - en voie de résorption dès le début de la présidence de Deng Xiaoping, pour donner progressivement à la Chine le statut de puissance qui est le sien aujourd'hui. Le Japon Jusqu'au XIXème siècle, le Japon vit d'une gestion politique et économique proches de l'autarcie, notamment en comparaison avec son voisin chinois, bien que des contacts, notamment commerciaux soient établis. Ce qui ne nous empêche pas de remarquer la grande richesse mais aussi l'ancienneté de la culture et de l'organisation politique japonaises. C'est cependant à partir de l'époque d'Edo (XVIème-XIXème siècle) que le Japon entre dans un certain dynamisme historique. [...]
[...] Que devrait donc attendre le Japon de l'occident pour poursuivre sa modernisation au cours de ce siècle ? L'on pourrait notamment penser qu'il s'agit d'une période déterminante pour continuer de s'ouvrir aux capitaux et investissements étrangers, dans une région du monde en plein développement : participation occidentale aux sociétés (voire leur rachat) comme dans les accords entre Mazda et Ford et l'accord Nissan-Renault. Mais aussi, de renforcer son rôle dans la diplomatie et la coopération internationale, souvent encore dépendante des alliés du Japon de par sa faiblesse en terme d'armement. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture