Occupation allemande, Seconde guerre mondiale, Pétain, Hitler, Général de Gaulle, Maurice Papon, idéologie national-socialiste, gouvernement de Vichy, Guerre froide, Gorbatchev, Staline, Khrouchtchev, devoir d'histoire, développement construit
En 1939, lorsque la France déclare la guerre à l'Allemagne de Hitler suite à l'agression allemande de la Pologne, peu imaginent que cette décision se soldera dans un premier temps par la débâcle militaire et l'armistice du 17 juin 1940. Celui-ci va marquer le début de quatre années d'occupation très dure de la France, pour moitié occupée, pour moitié (jusqu'en 1942) contrôlée par un régime autoritaire de collaboration, l'État français du Maréchal Pétain. Les Français seront soumis aux règles de l'occupant : arrestation des opposants, rafle des Juifs, travail forcé en Allemagne pour sa jeune génération. Nous montrerons donc en quoi les Français sous l'Occupation ont adopté de divers comportements, de la résistance à la collaboration, en passant par la passivité.
[...] Cette période va s'achever par la résolution pacifique d'une crise entre les deux superpuissances à Cuba. 1962-1979 : La Détente : Conscients d'être passés très près d'une périlleuse Guerre mondiale, les Etats Unis et l'URSS de Khrouchtchev (plus conciliant que Staline) vont tenter de mieux s'entendre, comme vont le manifester plusieurs accords allant dans le sens du désarmement (Accords Salt Accords d'Helsinki . 1979-1985 : La Guerre Fraiche ravive les tensions, sans les porter au niveau des années 1950, en raison notamment de l'invasion très contestée de l'Afghanistan par l'URSS et de la rhétorique plus offensive de l'Américain Reagan. [...]
[...] Nous montrerons donc en quoi les Français sous l'Occupation ont adopté des comportements divers, de la résistance à la collaboration, en passant par la passivité. Développement : chaque paragraphe représente une partie : j'ai fait le choix de présenter d'abord la collaboration, puis la résistance, enfin la passivité. Ce n'est pas par hasard : la collaboration était ce que l'état « officiel » attendait, tandis que la résistance s'opposait (fort heureusement) à l'ordre en place. Enfin, la passivité ne présente pas autant de caractère mais elle doit être mentionnée puisque c'était l'attitude majoritaire . [...]
[...] Nous nous devons de nous souvenir aujourd'hui du nombre de victimes, des souffrances de la population et du sacrifice des résistants dans le cadre d'un devoir de mémoire. La « Guerre Froide » se définit par la période située entre 1947 et 1991, durant laquelle une grande partie des pays du monde s'aligne derrière une alliance militaire et une adhésion aux systèmes politiques et économiques portés par les deux superpuissances que sont les Etats-Unis (démocratie et économie de marché) et l'URSS (dictature de type communiste). [...]
[...] Finalement, une majorité des Français s'est en général positionnée à un niveau intermédiaire entre résistance et collaboration, devant la plupart du temps se résigner aux privations et aux abus de l'occupant, sans oser s'élever directement contre ce qui se faisait, mais sans non plus faire du zèle pour satisfaire celui-ci. Il faut comprendre que, face aux privations et aux menaces, la préoccupation principale des familles françaises restait de parvenir à se nourrir et à survivre, tout en désapprouvant fortement et en espérant une libération qui se fit attendre quatre années. Vous le voyez j'ai réalisé une description résumée de ce qui se faisait en France, en conservant un certain style et des exemples pour éviter le risque de monotonie. [...]
[...] L'aboutissement de ce processus sera la dissolution du bloc soviétique à partir de 1989, les alliés de l'URSS mettant fin au système politique communiste tandis que l'URSS va elle-même se disloquer. [...]
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