Seconde guerre mondiale, occupation allemande, Pétain, Général De Gaulle, Allemagne nazie, STO Service de Travail Obligatoire, appel du 18 juin 1940, gouvernement de Vichy, mythe résistancialiste
L'occupation allemande de la France entre 1940 et 1944 est une période clef de l'Histoire contemporaine. Elle fait suite à la « drôle de guerre », qui s'étend du 3 septembre au 10 mai 1940, laquelle se conclut par l'invasion de la France par les armées allemandes du III? Reich (appelée aussi « la bataille de France », du 10 mai au 22 juin 1940), et la capitulation française le 22 juin 1940.
[...] Les réactions des Français à l'invasion et l'occupation allemande pendant la seconde Guerre Mondiale L'occupation allemande de la France entre 1940 et 1944 est une période clef de l'Histoire contemporaine. Elle fait suite à la « drôle de guerre », qui s'étend du 3 septembre au 10 mai 1940, laquelle se conclut par l'invasion de la France par les armées allemandes du IIIᵉ Reich (appelée aussi « la bataille de France », du 10 mai au 22 juin 1940), et la capitulation française le 22 juin 1940. [...]
[...] Les Français (surtout ceux des villes) ont du mal à se nourrir et à se vêtir au quotidien. Pour cela on crée les tickets de rationnement afin de répartir un peu plus équitablement les ressources encore disponibles. Beaucoup de choses nécessaires comme les médicaments ou la viande) sont dures à trouver, et les Français recourent au marché noir illégal pour compenser. Les réquisitions concernent également les personnes, notamment les ouvriers spécialisés, et les jeunes hommes qui sont envoyés travailler dans les usines allemandes via le Service de Travail Obligatoire (STO). [...]
[...] Un troisième groupe, les miliciens (la police politique), sont au contraire pro-allemands et choisissent de collaborer, soit par intérêt, soit par volonté de voir le nazisme triompher. Certains Français font cependant le choix opposé. La résistance A partir de l'appel du 18 juin 1940, beaucoup de Français choisissent de se rallier au général De Gaulle et d'entrer en Résistance. Ils font ainsi le choix de lutter contre l'occupation allemande de la France et la collaboration. Certains résistants décident de quitter la France pour rejoindre les Alliés et la France Libre, avec De Gaulle à Londres. [...]
[...] Leur but à tous est de pousser l'ensemble des Français à lutter contre le régime nazi et le gouvernement de Vichy. Ainsi, les réactions des français à l'invasion et l'occupation allemande pendant la seconde Guerre Mondiale ont été multiples. Certains ont décidé de collaborer, d'autre d'entrer dans la Résistance. Il faut cependant souligner que la grande majorité des Français n'a pas pris explicitement parti, n'étant ni fervents collaborateurs, ni près à risquer leur vie et celle de leur famille pour la libération de la France. Le « mythe résistancialiste » est une invention politique d'après-guerre seulement. [...]
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