A la fin de l'Ancien Régime, le Palais-Royal était très vivant. Il y avait beaucoup de boutiques. Il était alors le lieu où tout le monde se rendait pour manger ou boire, jouer et s'amuser. Sous les galeries, cafés et salles de jeux attiraient la foule. Le plus réputé était le café de Foy. Sur ordre du duc d'Orléans, la police avait l'interdiction d'entrer dans l'enceinte du palais. C'est ici que Camille Desmoulins, le 12 juillet 1789, appela le peuple de Paris à prendre les armes après le renvoi du ministre Necker ...
[...] Il s'appelait d'ailleurs PalaisCardinal. Louis XIV y vécut pendant ses premières années. Louis-Philippe-Joseph, futur Philippe Egalité, à court d'argent, réduisit le jardin et fit construire, tout autour, des boutiques et des appartements qu'il louait. L'actuelle Comédie-Française fut construite en 1786. Charlotte Corday acheta le couteau qui frappa Marat dans l'une des boutiques du Palais. A la fin de l'Ancien Régime, le Palais-Royal était très vivant. Il y avait beaucoup de boutiques. Il était alors le lieu où tout le monde se rendait pour manger ou boire, jouer et s'amuser. [...]
[...] Elle s'est appelé place de Conquête, puis place Louis-le-Grand. Sa colonne a une longue histoire : à la fin du XVIIe siècle, elle est décorée d'une statue de Louis XIV coiffé d'une énorme perruque. La Révolution l'abat. Elle prend alors le nom de place des Piques, de 1793 à 1799. Napoléon créé la colonne Vendôme, haute de 43,50 fondue à partir des canons russes et autrichiens. Il fait sculpter sa statue par Chaudet, au sommet. A la chute de l'Empire, on ne fera tomber que le Napoléon de bronze, la colonne ne pouvant être abattue. [...]
[...] cette visite nous a permis de connaître mieux les monuments de Paris, même s'il n'en reste pratiquement rien. Nous avons retrouvé des monuments qui étaient importants avant la révolution et que nous ne connaissions pas comme le club des Feuillants, l'église Saint-Roch cette sortie nous a permis de visiter Paris car nous avons tendance à ne pas le faire et c'est pour cette raison que nous le connaissons mal. Ceci était une très bonne occasion de connaître et de visiter son passé. [...]
[...] L'église est achevée en 1722, après que de nombreuses chapelles ont été rajoutées. Les charrettes qui se rendaient place de la Révolution : Charlotte Corday, Marie-Antoinette, Robespierre passaient devant l'église. C'est au pied de l'église que Napoléon Bonaparte, le 5 octobre 1795, fit fusiller les insurgés royalistes qui voulaient pénétrer dans la salle de la Convention, aux Tuileries. Le club des Jacobins : Club révolutionnaire créé à Versailles en 1789 par des députés de la province et qui s'installa peu après sa fondation dans l'ancien couvent des Jacobins. [...]
[...] L'organisateur, Courbet, fut jeté en prison puis s'exila. Le club des Feuillants : Club révolutionnaire fondé en 1791 par des modérés du club des Jacobins, partisans de la monarchie constitutionnelle. Le club des Feuillants, dont les principaux membres furent La Fayette, Duport et Sieyès, siégeait dans l'ancien couvant des Feuillants. La place de la Concorde : Cette grande place fut réalisée par l'architecte Gabriel entre 1753 et 1763 à la gloire de Louis XV pour recevoir sa statue équestre. Elle connut l'exécution de Louis XVI le 21 juin 1793, puis celle de Robespierre en 1794, plus de 1100 personnes qui y perdirent la tête entre eux deux. [...]
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