Dans la mémoire collective, l'image de Napoléon reste indissociable de celle de son armée. Son surnom en prouve toute la grandeur. En effet, les succès de sa « Grande Armée » font de Napoléon un conquérant sans pareil et un modèle, allant jusqu'à lui valoir le surnom du « dieu de la guerre » par Clausewitz, un officier prussien. Page de gloire pour la France, étape importante de l'histoire européenne, les guerres napoléoniennes sont aussi la continuation de celles de la Révolution, pour en valider les acquis, l'égalité dans l'ordre intérieur et si possible les frontières naturelles. Napoléon tenta de mettre un terme aux coalitions favorables à un retour à la monarchie, et conduisit ainsi les hommes de la grande armée jusqu'à Moscou. Aucune armée n'était allée aussi loin depuis des siècles et n'avait autant soumis de grandes puissances de l'époque. C'est en cela que semble résider le prestige de la Grande Armée.
[...] C'est par les qualités guerrières, non par l'instruction ou à l'ancienneté, que l'on monte en grade ; après chaque bataille, les officiers tués st immédiatement remplacés. Aussi nombre de colonels et de généraux sont-ils jeunes et commandant alors à de vieux soldats. Quant aux maréchaux, ce st des entraîneurs d'hommes, cô Murat, en tête de ses cavaliers, mais ce ne stoppas des stratèges. Enfin, l'artillerie et le génie, armes techniques, sont également remarquables par leur qualité. De plus, la Grande Armée est divisée en 8 corps d'armée d'infanterie corps de cavalerie et 3 d'artillerie, et regroupe jusqu'à hommes (lors campagne Russie). [...]
[...] La Grande Armée fond littéralement sous l'effet du froid, de la faim et des meurtrières attaquent des cosaques sur ses arrières. Sur les soldats de la Grande Armée, seuls hommes parvinrent à passer la rivière de la Bérézina. En 1813, le désastre de Russie entraîne la défection de la Prusse qui, ds un grand élan patriotique, attaque Napoléon. Ce dernier levé en hâte une nouvelle armée ms il n'a plus assez de vétérans Pr encadrés conscrits. Ainsi, la Grande Armée accablée par la coalition générale doit se replier lors «Bataille des Nations (défaite de Leipzig). [...]
[...] Ils étaient les + expérimentés de la Grande Armée, ms aussi les + fidèles à l'empereur, qui les avait surnommés ainsi alors qu'ils se plaignaient de leurs conditions de vie. Technique : La guerre éclair = une armée mobile Napoléon seul conçoit et dirige les opérations. Sa stratégie diffère de celle des généraux de l'ancien régime, dt les buts étaient limités, les méthodes prudentes & les mouvements lents. Napoléon dispose du réservoir presque inépuisable de la conscription, ds une France alors la + peuplée des nations d'Europe. [...]
[...] En quoi la Grande Armée a-t-elle participé plus qu'activement à ce qui fut appelé La gloire de la France ? Dans la mémoire collective, l'image de Napoléon reste indissociable de celle de son armée. Son surnom en prouve toute la grandeur. En effet, les succès de sa Grande Armée font de Napoléon un conquérant sans pareil et un modèle, allant jusqu'à lui valoir le surnom du dieu de la guerre par Clausewitz, un officier prussien. Page de gloire pour la France, étape importante de l'histoire européenne, les guerres napoléoniennes sont aussi la continuation de celles de la Révolution, pour en valider les acquis, l'égalité dans l'ordre intérieur et si possible les frontières naturelles. [...]
[...] Cette mobilité est due en partie à la division de la Grande Armée en plusieurs corps d'armée. La victoire permettra de vivre sur le pays ; il faut alors qu'elle est immédiate et totale, car de longues opérations épuiseraient ressources. Au cours des premières années et ds les pays riches d'Europe centrale, cette méthode assure à Napoléon des victoires foudroyantes. La Grande Armée bénéficie ainsi d'une grande mobilité stratégique qui lui confère un ascendant décisif sur ses adversaires. (Cette mobilité est toutefois très réduite pendant la campagne de Russie, une partie de l'intendance utilisant des chars à bœufs.) Fidèle à l'empereur Au-delà du caractère considérable de la Grande Armée, il faut également rappeler l'inébranlable fidélité des hommes la composant envers l'Empereur et sa politique de conquêtes. [...]
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