La ville de Québec accumule aujourd'hui les renommées nationales et internationales, non seulement grâce à son historique unique, mais surtout grâce à son économie florissante. « Meilleure ville canadienne pour établir une entreprise » (selon le Canadian Business Magazine, novembre 2006), « Meilleure ville pour faire des affaires en Amériques du Nord » (selon l'indice KPMG - parmi les villes de taille moyenne à l'étude - Choix concurrentiels KPMG 2006) et « Communauté de recherche de l'année » (selon le Research Infosource, janvier 2007) ne sont que quelques titres qu'a remportés cette ville dans les dernières années. Québec se démarque aujourd'hui comme étant un pôle technologique nord-américain (...)
[...] Au début du siècle Québec est reconnue comme une ville profitant d'une expansion industrielle importante. En effet, de la fin du 19ème siècle à 1930, c'est la chute du commerce du bois qui sévie. Pour remédier à cela la ville de Québec va donc se tourner vers une alternative : l'exportation de produits miniers, forestiers céréaliers. Un changement s'opère instantanément durant la première moitié du XXème siècle et on voit Québec accueillir de nombreuses industries qui prospéreront dans l'industrie de la chaussure, mais aussi dans celle des pates à papiers et de la métallurgie. [...]
[...] Un autre aspect de la ville se développe durant ces années. En 1820, les premiers guides touristiques sont publiés. Ils misent essentiellement sur les mêmes attraits qu'aujourd'hui : les fortifications de la ville et les cataractes Kabir Kouba et Montmorency. La ville de Québec au milieu du 19ème siècle. À de nombreuses reprises la ville de Québec est frappée par d'importants incendies : en 1845, les flammes détruisent le quartier de Saint-Roch, des milliers d'habitations et de boutiques sont détruites. [...]
[...] De plus, après l'attaque américaine qui voulait libérer les Canadiens des Anglais, les tours Martello ainsi que la citadelle furent construites et donnèrent le statut de place forte à Québec. Un marché florissant Le blocus effectué par Napoléon Ier en 1806 est favorable au développement de Québec. En effet, la Grande-Bretagne est obligée de s'approvisionner en bois au Canada. Ainsi le 19ème siècle est l'apogée du commerce de bois et navale pour le Canada : Québec se place en troisième position des plus grands ports d'Amérique derrière New-York et la Nouvelle- Orléans. [...]
[...] Le Québec manque aujourd'hui d'entrepreneurs, le maire de la ville de Québec M. Régis Labeaume tente de résoudre ce problème en instaurant un programme d'entreprenariat étude. Les domaines les plus dynamiques à l'origine du succès économique de la ville Les domaines les plus dynamiques sont : - Les technologies appliquées (hautes technologies) - Les sciences de la vie, santé et nutrition (biotechnologie) - Le tourisme (exploitation du patrimoine culturel) - Transformation de matériaux (bois et métaux) - La finance et les assurances (Voir graphique Les technologies appliquées : La ville de Québec possède des centres de recherche très compétents dans les domaines de l'optique-photonique, la défense et sécurité, l'électronique, les technologies de l'information et la géomantique. [...]
[...] Le commerce prend le relais. L'industrialisation intensive de la ville s'achève cependant vers les années 1930 et c'est dorénavant le commerce qui va prendre de l'importance. En effet, la stagnation de la production manufacturière qui résulte de la crise financière va permettre au quartier de Saint-Roch de s'établir dans le commerce de gros détail. Le quartier de Val-Bélair tire profit lui aussi d'un événement qui changera le visage du monde, de la province et plus particulièrement de la ville : la seconde guerre mondiale. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture