- 1850 : les entraves autrichiennes sont mises aux ambitions unitaires de la Prusse et cela particulièrement dans les années 1850.
- En 1850, Frédéric Guillaume IV qui est alors roi de Prusse a été contraint de renoncer à l'union restreinte, une union qui rassemblait des princes allemands du nord et du centre.
- On parle de la reculade d'Olmutz en 1850, c'est le moment où François Guillaume IV doit reculer devant les exigences de Stuartshemberg, le successeur de Metternich (...)
[...] La Prusse avant l'unité allemande On peut identifier trois figures centrales : 1. Metternich Louis Napoléon Bonaparte (empereur le 2 décembre 1852) Bismarck (Otto Von) qui devient ministre-président de la Prusse en 1852, il va assurer la proclamation de l'état allemand le 18 janvier 1871 dans les galeries de Versailles. Entre 1871 et 1890 il est président du Reich allemand. Quand il est au pouvoir, cela fonctionne bien avec Guillaume II mais il y aura des désaccords. En 1890, c'est la chute de Bismarck. [...]
[...] Conclusion On passe rapidement de la bataille de Sadowa à la bataille de 1870, Napoléon III répond à une provocation de Bismarck en déclarant la guerre à la Prusse. Bismarck avait souhaité provoquer un conflit pour achever l'unité allemande. Le 19 juillet 1870, c'est le désastre de Sedan. Le 2 septembre Napoléon III est fait prisonnier dans cette même ville. Deux jours plus tard la république en France est proclamée. C'est une énorme victoire pour Bismarck. Enfin en 1871, Bismarck va choisir une position très ferme : imposer cinq millions de franc or à la France et annexer une partie de l'Alsace-Lorraine : traité de Frankfort de 1887. [...]
[...] - C'est le choix pour Bismarck d'une certaine modération vis-à-vis de l'Autriche. - Bismarck a pensé à d'abord faire l'unité allemande ce qui est très habile. - Bismarck refuse d'exiger le démembrement de l'Autriche. - Il y a une confédération germanique mais il n'y a plus d'Autriche. - Il a cédé à la demande de Napoléon III de laisser tranquille les états du sud : c'est la paix de Prague. - La Prusse ne va pas démembrer l'Autriche mais annexer le Hanovre (Nassau, Frankfort). [...]
[...] Il va l'isoler en la coupant des princes allemands. Il y a une opposition allemande sur tous les territoires. Tous les allemands ne sont pas favorables d'avoir des relations avec la Prusse et surtout avec le sud. La Bavière étant une région catholique et la Prusse luthérienne. - L'Autriche fait figure de protection vis-à-vis des états du sud. - Bismarck envisage une main-œuvre austro-prussien au Danemark. - Le roi du Danemark possède trois duchés. - Après cette guerre, l'Autriche occupe des parties allemandes : le Holstein en 1965. [...]
[...] L'Autriche impose sa puissance en Allemagne. La Prusse a reculé pour ne pas être contrainte de battre en retraite contre l'Autriche. - Cependant il y a des éléments positifs comme la cohésion des élites prussiennes (politique anti-autrichienne). - La Prusse ne cesse de se renforcer. - En 1854, la Prusse réussi malgré la position de Vienne, il renouvellement avec les frontières douanières. - Rapprochement de la Prusse et des états allemands pour un plan économique. - On ne veut pas d'une union douanière en Allemagne de Zollverein. [...]
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