En 1814, on assiste à la chute de l'Empire, précipitée par les défaites successives de Napoléon Ier face à la Prusse, l'Autriche-Hongrie et la Russie ou encore l'Angleterre, qui le poussent à abdiquer le 6 avril 1814 à Fontainebleau. Ce sont les vainqueurs qui vont pouvoir décider du sort de la France et ces derniers vont opter pour une monarchie, qui est le régime le plus appliqué en Europe en cette période. Ils vont suivre les règles de succession traditionnelle et vont placer à la tête de cette monarchie Louis Stanislas Xavier, comte de Provence. Son règne durera une dizaine d'années puisqu'il s'éteint en 1824.
Lui succède son frère, le comte d'Artois, qui sera nommé Charles X à l'instant où il recevra les pouvoirs régaliens. Il en viendra à être chassé de son pays et sera remplacé par le duc d'Orléans qui deviendra le 9 août 1830, Louis Philippe Ier, roi des Français. Il apparaît donc que la période qui va de 1814 à 1848 sera dominée par le rétablissement d'une monarchie.
Cependant, les trois monarques qui se succèdent vont se révéler très différents les uns des autres. De par leur comportement qui va logiquement se répercuter sur leur manière de gouverner et sur l'utilisation qu'ils font de leur pouvoir pour les mener chacun à leurs objectifs suivant les périodes abordées.
[...] Son règne durera une dizaine d'années puisqu'il s'éteint en 1824. Lui succède son frère, le comte d'Artois, qui sera nommé Charles X à l'instant où il recevra les pouvoirs régaliens. Il en viendra à être chassé de son pays et sera remplacé par le duc d'Orléans qui deviendra le 9 août 1830, Louis Philippe Ier, roi des Français. Il apparaît donc que la période qui va de 1814 à 1848 sera dominée par le rétablissement d'une monarchie. Cependant les trois monarques qui se succèdent vont se révéler très différents les uns des autres. [...]
[...] Mais l'outrage au roi est encore fortement condamnable. Le pouvoir est fortement influencé par les Ultras : royalistes qui eux souhaitent revenir aux mesures prises sous l'Ancien Régime. La fin du règne de Louis XVIII se marque par des mesures plus arbitraires comme pour la presse on impose le droit de timbre en Mars 1820, c'est-à-dire tous journaux devront avoir une autorisation par un timbre pour être publié donc c'est un moyen de contrôler la presse des libéraux. Une autre mesure, comme le double vote, pour augmenter la représentativité des Ultras à la chambre. [...]
[...] Il est connu pour ses idées libérales, il a d'ailleurs participé à la Révolution française. Sûrement, les tient-il de son père Philippe égalité, qui a voté la mort de la monarchie, c'est-à-dire de Louis XVI, son cousin. Il se distingue nettement de ces prédécesseurs, il est surnommé le roi bourgeois il mène une vie banale, met ses enfants dans des écoles publiques, donc ne dévoile pas les fastes de la cour. Il choisit par ailleurs d'évincer les nobles du pouvoir en les remplaçant par des bourgeois. [...]
[...] Il est donc important de souligner, ces évènements en sont la preuve, que l'abus de pouvoir, la force, loin d'être des solutions se sont révélés génératrices de conflits et de révolutions. Le pouvoir de la hauteur de son trône peut nettement se révéler en danger si la population en juge la nécessité. Tout ceci aboutira le 27 février 1848 à la proclamation de la Deuxième République qui sera plus libérale. [...]
[...] Le pouvoir du roi se conjugue donc avec la religion puisqu'il est de nature divine. Une véritable alliance entre le trône et l'autel se crée, par la chartre, la religion catholique devient religion d'Etat donc cela signifie que le roi leur accorde des privilèges. Par exemple, il impose à toute la population le repos dominical et interdiction du divorce. Le pouvoir du roi se révèle assez imposant, en effet, la place du peuple dans les décisions est très minime, quasi inexistante. [...]
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