C'est l'homme fort de l'Union Nationale. Cette période qui va s'étendre de 1926 à 1929 est un retour à une certaine stabilité. C'est lui qui rétablie la confiance, il a de l'expérience politique, puisque cela fait plus de trente ans qu'il est dans les allées du pouvoir alors que Daladier et Herriot marquent d'expérience. Poincaré a su de même rassurer tout au long de sa carrière les conservateurs, il a toujours défendu l'ordre (la droite lui est favorable) et su aussi rassurer la gauche. En effet Poincaré a toujours était le défenseur des valeurs démocratiques, c'est un antidreyfusard (même le plus acharné), il a aussi toujours défendu la laïcité, il rassure donc les radicaux. Pour l'opinion publique, c'est l'homme providentiel car c'est un homme honnête, très sérieux, de plus il rappel le souvenir de la belle époque (...)
[...] La dernière grande action de Poincaré dans le social est au niveau de l'éducation. Poincaré avec son minimum de l'éducation décident plusieurs réformes : Herriot décide de démocratiser l'enseignement : pour entrer dans le secondaire il fallait passer des examens et étant payant, seule l'école primaire avec les lois ferry est laïque, gratuite et obligatoire. Avec Poincaré, le collège devient gratuit de la sixième à la troisième. Mais il y a toujours un examen d'entrée. Cet examen d'entrée défavorise les élèves issus du monde rural. [...]
[...] - Diminution de la monnaie en circulation. Cela va servir à combattre l'inflation. Les taux d'escompte seront plus élevés, le crédit donc beaucoup plus chers. De ce fait la situation semble assainie, le franc est stabilisé, Poincaré se montre très courageux car pour permettre la convertibilité du franc en or, il effectue une dévaluation de Les français l'acceptent, ils pensent que c'est le prix à payer pour la guerre, mais à une seule condition : que ce soit la dernière. [...]
[...] Poincaré laisse faire Aristide Brillant et on à l'illusion à l'époque qu'une paix perpétuelle va régner sur l'Europe. La preuve, le service militaire va être réduit à un an. Poincaré va décider la construction de la ligne Maginot et pour garantir la sécurité de la France, ceux-ci réaffirme ou fait naitre de nouvelles alliances avec certains pays notamment d'Europe centrale. Malheureusement avec le krak boursier de 1929, la crise va s'avancer vers l'Europe. Les hommes politiques qui vont arriver en politique sont jeunes ils n'ont pas d'expérience, en mettant entre parenthèse la démocratie. [...]
[...] Il y a trois grandes actions pour avoir une monnaie forte : - On transforme les échéances à court terme en dette à long terme (cela permet au gouvernement d'avoir une marche de main-œuvre face aux petits épargnants). - Retour à l'équilibre budgétaire (ne pas dépenser plus que l'on gagne). Ceci est considéré comme une politique très sérieuse. Il faut que le gouvernement diminue les dépenses, pour cela il réduit le nombre de fonctionnaire, il rogne de même sur toutes les dépenses possibles : augmentation de certains impôts : le capital est imposé. [...]
[...] Le retour de Poincaré aux affaires (1926-1929) I. Le retour de Poincaré C'est l'homme fort de l'Union Nationale. Cette période qui va s'étendre de 1926 à 1929 est un retour à une certaine stabilité. C'est lui qui rétablie la confiance, il a de l'expérience politique, puisque cela fait plus de trente ans qu'il est dans les allées du pouvoir alors que Daladier et Herriot marquent d'expérience. Poincaré a su de même rassurer tout au long de sa carrière les conservateurs, il a toujours défendu l'ordre (la droite lui est favorable) et su aussi rassurer la gauche. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture