Paris, capitale des français, est de nos jours le fruit de notre passé artistique et culturel. Il peut être intéressant d'étudier ce passé de l'art qui nous a transmis cet héritage. Ainsi, nous étudierons en particulier la révolution culturelle lors de la « Belle époque » et essaierons de montrer que Paris est une ville cosmopolite pouvant revendiquer le titre de création de la culture en comparaison de Vienne ou New York (...)
[...] A partir de 1910, avec ce que l'on nommera le cubisme analytique, Picasso et Braque affirmeront une rupture avec la vision classique déjà entamée depuis quatre ans. Ils abandonnent ainsi l'unicité de point de vue du motif pour en introduire de multiples sous des angles divers, juxtaposés ou enchevêtrés dans une même œuvre et s'affranchissent de la perspective pour donner une importance prépondérante aux plans dans l'éclatement des volumes. Nous en avons exemple dans le tableau de Picasso intitulé Le Guitariste. Le peintre Wassily Kandinsky est le fondateur de l'art abstrait. [...]
[...] Paris deviendra la capitale de l'Art nouveau en raison de son prestige de «capitale de bon ton». En 1900, Hector Guimard fit une commande afin réaliser les entrées des stations de métro. Il est important de savoir que l'Art nouveau est surtout un mouvement répandu en Europe mais qu'il existe aussi quelques développements aux États-Unis : Louis Comfort Tiffany, né en 1848 et mort en 1933, est un artiste américain célèbre pour ses œuvres en verre teinté. A Vienne, on parle de sécession viennoise et non d'art nouveau ; Ce courant de l'Art nouveau est un peu plus géométrique que celui en France. [...]
[...] Le peintre avait 32 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grande dimension qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation au Salon de peinture de 1850. On a alors reproché au tableau sa vulgarité et les critiques ont accusé Courbet de peindre "le laid", "le trivial" et "l'ignoble". L'enterrement à Ornans va vite devenir une œuvre manifeste du Réalisme dont Courbet sera le chef de file ; un peintre engagé pour l'Art mais aussi pour la République. Puis vint la révolution par rapport à la forme. [...]
[...] Capitale culturelle Montrez que Paris est une ville cosmopolite qui peut revendiquer le titre de capitale de la création culturelle à côté de Vienne ou New York. Paris, capitale des français, est de nos jours le fruit de notre passé artistique et culturel. Il peut être intéressant d'étudier ce passé de l'art qui nous a transmis cet héritage. Ainsi, nous étudierons en particulier la révolution culturelle lors de la Belle époque et essaierons de montrer que Paris est une ville cosmopolite pouvant revendiquer le titre de création de la culture en comparaison de Vienne ou New York. [...]
[...] C'est le début des premières expositions privées, des peintures refusées dans les salons officiels, le début du marché de l'art. La capitale rassemble toutes les composantes d'une vie artistique foisonnante qui mêle art académique et courants d'avant-garde y a alors un très fort engouement de la plupart des hommes pour la création culturelle. Beaucoup sont enchantés et enthousiastes tels que Proust qui décrit Les Ballets russes de Diaghilev et y voit des actions nouvelles permettant de fuir le déjà-vu Ainsi, autre que la peinture, Paris accueille de grands ballets, innovants et parfois déstabilisants pour le public. [...]
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