La New Deal, ou nouvelle donne, est le nom donné par le président Américain Franklin D. Roosevelt à la politique économique de relance pour faire face à la crise. On peut distinguer deux new deals qui se succèdent sur une période allant de 1933 à 1938. Il touchera tous les domaines de l'économie, et plus particulièrement l'agriculture (...)
[...] Les réformes du premier ND ont aussi ont aussi des objectifs sur le long terme (autre pt de vue pour analyser ces réformes) l'A.A.A, évoqué en première partie laisse apparaître un besoin de protéger les sols pour pouvoir les cultiver sur une période aussi longue que possible.-Le “national industrial adjustment met en place des codes de concurrence loyale permettant ainsi une durée de vie plus longue et un renforcement des entreprises. III- Le bilan du new deal. D'immenses progrès sur le plan politique et social . La New Deal a en effet permis un renforcement du pouvoir du président, une baisse du taux de chômage, redémarrage de l'industrie (relance rendue possible par des commandes militaires massives vers la fin du New Deal car F.D. Roosevelt est convaincu que les Etats-Unis seront impliqués dans la guerre . ) Les Etats-Unis produisent donc des armes pour eux, mais aussi pour leurs alliés. [...]
[...] -En juin 1933, et pour la première fois, on assiste a un cloisonnement entre les banques de dépôt et les banques d'affaire afin d'éviter les contaminations à l'économie réelle. c'est le “glass steagall . dans le domaine de l'agriculture Bien que cette crise soit essentiellement d'ordre économique, des mesures sont aussi prises dans le domaine de l'agriculture. En mai 1933, l'Etat américain propose des indemnités compensatrices à tout agriculteur qui réduit sa surface de blé, coton, maïs, et diminue sa production de lait et de viande de porc, il s'agit de “l'agricultural adjustment (A.A.A). Les mesures affectant le domaine agricole visent généralement à réduire la production. . [...]
[...] Roosevelt à la politique économique de relance pour faire face à la crise. On peut distinguer deux new deals qui se succèdent sur une période allant de 1933 à 1938. Il touchera tous les domaines de l'économie, et plus particulièrement l'agriculture. Nous nous poserons donc les questions suivantes: La New Deal, avec toutes ses réformes adoptées dans l'urgence peut-il être qualifié de révolution? Cependant, les mesures prises lors du second New Deal, avec des objectifs sur le long terme, ne témoignent-elles pas simplement d'une évolution? [...]
[...] Cependant, La New Deal ne parvient pas à régler tous les problèmes causés par la crise de 1929. En effet, il n'empêche pas la grande récession de 1937. De plus, on ne parvient pas à établir une parité de parité entre les prix agricoles et les prix industriels. Le Chômage est aussi toujours très important malgré une forte baisse (il y a environ 4 millions de chômeurs à la fin du second ND) CONCLUSION : Le premier New Deal, avec les fameux 100 jours de Roosevelt avait pour objectif de résoudre des problèmes sur le court terme et qu'en ce sens, on pouvait le considérer comme une révolution; le second New Deal visait une échelle beaucoup plus large et il est plus habile d'en parler comme étant une évolution. [...]
[...] Le “reciprocal trade agreement permet ensuite au président Américain de baisser les droits de douane sans consulter le congrès à condition que ces baisses tarifaires soient réciproques. La première New deal est donc fait de réformes qui bouleversent l'ordre établi, on peut donc parler d'une révolution. Cependant, le second New Deal commence lorsque la suprême dissout le premier, et la nature réformes change également. II- Cependant, beaucoup de ces réformes ont des objectifs sur le long terme; c'est pourquoi il serait plus habile de parler d'évolution. [...]
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