Le mouvement ouvrier en France de 1848 au début de la quatrième République

Résumé du document

Dissertation sur le socialisme, le communisme et les mouvements ouvriers.

Extraits

[...] On voit au travers de ces deux expériences la naissance d'un mouvement ouvrier soutenu par la première internationale puis qui ne fera que se développer mais restera perpétuellement marquée par des oppositions entre partis qui mèneront à la fin du premier international, auto dissolue en 1876 pour n'être remis en place qu'en 1889 à Paris. II. La confrontation des idées des différents partis représentant les mouvements ouvriers. Les mouvements ouvriers se développe mais connaissent des divisions de partis en leur sein. [...]

[...] Ainsi Jaurès se trouvera opposé aux idées de Marx et Proudhon ainsi qu'au syndicalisme. De même, Léon Blum se verra opposer les idées du parti communiste français. A. La confrontation de Jaurès aux idées de Proudhon et Marx ainsi qu'au syndicalisme Bien que de nombreux points communs lient les partis, certaines idées diffèrent. Pour Jaurès il est tout à fait possible d'atteindre le communisme sans violence. Il s'agit du pacifisme et on peut y arriver lentement en se servant de l'Etat. [...]

[...] Ce mouvement d'ouvriers sera encore plus flagrant suite à la prochaine révolution, celle de la commune de Paris en 1871. Cette seconde révolution sera la base et la fierté des premiers groupes socialistes. B. La Commune : la première révolution prolétarienne. La Commune divise les mouvements ouvriers quant à son interprétation selon qu'il s'agisse des marxistes ou des anarchistes. Cependant, les deux s'accordent à dire qu'il s'agit de la première révolution prolétarienne aboutie. Toutefois pour les marxistes elle a abouti à une dictature du prolétariat à un gouvernement ouvrier Selon eux on est en présence du modèle le plus grandiose des grandioses mouvements prolétariens du XIXème. [...]

[...] Il soutient le mouvement de grève des mineurs qui se heurtait à la répression de Clemenceau en ouvrant une tribune dans l'Humanité pour la CGT. Il y eu donc quand même des moments de ralliement comme le 25 mais 1913 au grand meeting du Pré Saint Gervais ou ils luttèrent tous ensemble, les uns à côté des autres, contre la loi des trois ans qui visait à renforcer les effectifs de l'armée. Il se peut que les liens eu été renforcés, mais le mort de Jaurès l'empêcha. [...]

[...] A ce moment là commence une cohabitation avec Le PC qui les mèneront vers la chute engendrée par la seconde guerre mondiale. En effet, au début, les socialiste se coulent en appelant à la fraternisation avec les soldats allemands et en condamnant le Général de Gaule. Suite au pacte germano soviétique, étant donnée qu'ils dépendent politiquement de l'URSS, les communistes s'effondrent eux aussi. Effectivement, après le Front populaire, arrive une courte période de collaboration entre le PC et le PS avec l'assouplissement de la ligne et le nouvel impératif de l'antifascisme. [...]