Plan:
TITRE II ? LA LEGISLATIVE 1791-1792
Chapitre I ? Le fonctionnement du régime ou la monarchie suspectée
Section I ? Le jeu des forces politiques
§ 1 ? L'assemblée législative
§ 2 ? Le roi
§ 3 ? Le peuple de Paris
Section II ? Les faits nouveaux et les éléments de crise
§ 1 ? La crise financière et économique
§ 2 ? L'agitation sociale
§ 3 ? La crise politique et religieuse
Chapitre II : La guerre ou la monarchie accusée
Section I ? Les partisans de la guerre
Section II ? La recherche et le déclenchement des hostilités
§ 1 ? Les défis aux puissances étrangères
§ 2 ? Le triomphe des bellicistes
§ 3 ? Les premiers revers
Chapitre III : La condamnation de la monarchie
Section I ? La politique girondine et le 20 juin 1792
§ 1 ? Les provocations girondines
§ 2 ? La journée du 20 juin
Section II ? La patrie en danger
§ 1 ? La double action anti-monarchiste
§ 2 ? Le Manifeste de Brunswick
Section III ? Vers la République
§ 1 ? Les violences de l'été 1792
A/ La journée du 10 août
B/ Les massacres de septembre
§ 2 ? L'avènement de la République
A/ Les élections à la Convention
B/ Le triomphe républicain
[...] II) L'agitation sociale. Cette agitation découle de la crise économique du fait de la raréfaction des denrées, la croissance de leur prix et la crainte de la disette. Des troubles éclatent autant dans les milieux ruraux qu'urbains. III) La crise religieuse. De plus en plus de nobles prennent le chemin de l'exil. Pour pallier à cette fuite d'hommes et de capitaux, l'Assemblée législative va voter les décrets du 9 novembre qui visent à sanctionner ces derniers. Les émigrés sont accusés de conjuration avec l'ennemi contre la révolution, la peine de mort est instituée s'ils ne rentrent pas avant le 1 janvier 1792. [...]
[...] Le premier septembre, des rumeurs de conspirations aristocratiques (emprisonnés) vont menées les masses dans une fureur vindicative, cette vengeance populaire va être illustée par les massacres ordonnés par le comité de surveillance de la commune (qui prend soin de faire sortir des prisons, les délinquants de droit commun et les prisonniers pour dettes), pendant 5 jours, Paris va être parcourue de massacres systématiques des occupants des prisons parisiennes, ces massacres sont considérés comme des mesures de salubrité publique et compte un triste bilan de 1200 morts. C'est dans cette atmosphère sanglante que va s'instaurer la République. II) L'avènement de la République. Les élections à la convention. [...]
[...] La double campagne anti-monarchiste. Cette campagne est double dans la mesure où elle est aussi bien présente entre les murs de l'Assemblée, qu'a l'extérieur, notamment dans la ville de Paris. Le 2 juillet, on bafoue le veto royal apposé à la création d'un camp de fédérés, l'Assemblée met en place ce camp et l'emplit des gardes nationaux les plus révolutionnaires. La frontière de l'Est est menacée par le duc de Brunswick qui est à la tète des armées prussienne. Ainsi, en plus du Nord la France est également déchiqueté sur sa partie orientale. [...]
[...] Le 21 septembre, il est décidé qu'a compter du 20 septembre 1793, le calendrier révolutionnaire est mis en place, nous sommes alors à l'An I de la République. Le 25 septembre, la République est proclamée comme une et indivisible, c'est une annonce indirecte de l'instauration de la Ière République. [...]
[...] Chapitre II: La guerre ou la monarchie accusée. La destinée de la révolution doit beaucoup à l'entrée en guerre de la France révolutionnaire, celle ci est voulue de tous. En effet l'opinion désire défendre l'intérèt nationale par la guerre patriotique, puis aider les peuples d'Europe en exportant la révolution. La révolution trouve alors une nouvelle dimension, la guerre y est le moteur qui engrangera une montée des évenements. Section Les partisans de la guerre. Ils pensent que la révolution devrait être fortifiée par le patriotisme, les girondins en sont les grands partisans. [...]
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