On peut parler d'Histoire car les Hommes sont conscients du passé, ils l'assimilent et s'imposent d'en conserver la mémoire. Chacun d'entre nous à son histoire personnelle (son vécu), et chacun s'inscrit dans son histoire collective, celle de l'humanité.
Le caractère historique de l'Homme serait lié à ce que Rousseau nomme la perfectibilité, la faculté de se perfectionner. Cette faculté distingue l'Homme de l'animal, car ce dernier est guidé par l'instinct tandis que l'Homme, lui, n'a pas de code. Il est libre. L'Homme seul a un rapport avec son passé.
Définition de l'Histoire :
L'Histoire se définit d'abord comme le cours des événements humain.
Il s'agit également du récit authentique du passé et de ses événements. Les actions des Hommes seraient anéanties si personne n'était là pour en établir le récit, et pour le transmettre.
[...] L'intérêt pour le passé est donc d'un ordre. Nous nous intéressons au passé parce que nous le devons. Nous avons un devoir de mémoire : celui du rapport dû à son prochain. Il faut honorer la mémoire de ses ancêtres. L'oubli est une injure à ce qui a été. Jankélévitch montre que nous avons un devoir envers les victimes pour ne pas qu'elles meurent une seconde fois De plus, le pardon est aussi indispensable : c'est un acte positif, qui permet de tourner la page et d'avancer dans l'avenir. [...]
[...] La connaissance de l'Histoire, c'est-à- dire son étude, permettrait de maîtriser l'avenir. Ainsi, il faudrait comprendre la logique de l'Histoire, identifier les forces à l'œuvre dans son processus (intérêts économiques, antagonismes ) pour ensuite en tirer des règles pour ne pas reproduire les mêmes erreurs. Critique d'Hegel : Il n'y a pas de leçon de l'Histoire. Il n'y a aucun enseignement à en tirer. Car chaque situation est unique et rien ne se répète, c'est-à-dire que les contextes sont différents et on ne fait pas le lien avec le passé. [...]
[...] Le cadre de l'Histoire s'élargit. Alors au 20ème siècle naît une nouvelle forme d'Histoire. Elle néglige l'évènement et elle s'intéresse aux origines des grands faits (aux mentalités). Il s'agit d'étudier les structures d'une époque, d'une société. Elle cherche donc la réalité dont l'évènement est le signe indicateur. Elle s'oppose à l'Histoire positiviste qui prétendait ne dire que des faits sans interprétation laissant de côté l'économie, les mentalités. II) Les formes d'intérêts de l'Histoire L'Homme a le souci de se rappeler du passé. [...]
[...] Quel intérêt présente, à vos yeux, l'étude de l'Histoire ? Introduction : On peut parler d'Histoire car les Hommes sont conscients du passé, ils l'assimilent et s'imposent d'en conserver la mémoire. Chacun d'entre nous à son histoire personnelle (son vécu), et chacun s'inscrit dans son histoire collective, celle de l'humanité. Le caractère historique de l'Homme serait lié à ce que Rousseau nomme la perfectibilité, la faculté de se perfectionner. Cette faculté distingue l'Homme de l'animal, car ce dernier est guidé par l'instinct tandis que l'Homme, lui, n'a pas de code. [...]
[...] Il est présent dans notre esprit, à nous de savoir en tirer les leçons. L'étude de l'Histoire est aussi nécessaire pour se comprendre soi-même. III) L'Histoire pour comprendre l'Homme L'étude de l'Histoire est enfin essentielle pour comprendre l'Homme. Elle permet d'analyser son évolution, et de voir s'il y a une perfectibilité de l'Homme (Rousseau). Est-ce qu'on constate un progrès ? On peut comprendre et analyser l'Histoire comme progrès humain. On peut distinguer le progrès technique (et technologique), le progrès politique et le progrès moral. [...]
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