Guerre, conflits armés, polémologie, Gaston Bouthoul, conflit étatique, Première Guerre mondiale, Seconde Guerre mondiale, guerre de Sept Ans, guerre du Golfe, stratégie, puissance, territoire, empire colonial, colonies, colonies anglaises, colonies britanniques, politique d'influence, Économie, influence économique, commerce international, ressources, Géographie et géopolitique, Pétrole, Saddam Hussein, régime totalitaire, groupe ultraradical, URSS, Al-Qaïda, organisation religieuse, conflit israélo-palestinien, occident, Moyen orient, bande de Gaza, idéologie politique, Hitler, jeunesse hitlérienne, propagande, guerre de Trente Ans, traité de paix, traité de Westphalie, CECA Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier, ONU Organisation des Nations Unies
L'idée la plus commune de la guerre est synonyme de conflits étatiques, qui respectent le droit de guerre, comme la Première Guerre mondiale. Les guerres civiles ou intraétatiques se font également une place dans la typologie des guerres, avec par exemple le conflit syrien, entre les partisans du régime de Bachar al-Assad et différents mouvements politiques opposés à lui, autrement dit, ce sont des groupes d'un même État s'opposant suite à des convictions différentes par exemple. Ce qui nous amène enfin sur une forme de conflit plutôt contemporaine avec les guerres irrégulières, entre groupes non étatiques face à des États, ou des groupes non étatiques entre eux, comme la guerre contre l'État islamique.
[...] L'ONU est avant tout un lieu de communication, d'échange et de négociations collectives en faveur de la paix. En décembre 2020, l'ONU a lancé 13 opérations de maintien de la paix dans le monde, notamment au Proche-Orient et en Afrique. Cette dernière à la particularité de réunir 5 membres permanents (les pays de départ), et 10 membres élus pour deux ans, ce qui permet de faire participer tous les pays adhérant à l'ONU à la vie politique supranationale. Éliminer la faim, assurer l'éducation ou encore préserver l'environnement sont trois des huit ODD institués par l'ONU depuis 2015 pour améliorer la société. [...]
[...] Si à l'origine, ce territoire est donné aux juifs, persécutés sous le IIIe Reich, cette idée ne fait pas l'unanimité auprès de la population locale. Ici, le judaïsme est compris comme une appartenance nationale, le sionisme est considéré comme étant un mouvement laïque ayant pour but de réunir le peuple juif après de fortes persécutions antisémites. Or, face à l'occidentalisation, un mouvement est fondé à la fin du XIXe siècle, le panarabisme, ayant pour objectif de rassembler, tout comme le sionisme, tous les Arabes, y compris les chrétiens. [...]
[...] Mais pourquoi est-il avantageux de détenir le plus de territoires, jusqu'à aller accaparer les terres d'autres États ? En effet, les empires coloniaux possédant le plus de colonies, le plus de territoires et donc, le plus d'individus sous leur gouverne, élargissent leur influence culturelle (essor de la langue, des traditions . politique (mobilisation pour la guerre, diffusion d'une idéologie . ) et économique. Les colonies se situant en Amérique du Nord pour l'Angleterre et la France sont un atout stratégique vis-à-vis du commerce, en raison des diverses ressources - alimentaires ou non - dont elles regorgent, qui ont la possibilité d'être importées par voie maritime. [...]
[...] L'objectif final de la guerre est d'imposer sa volonté à l'ennemi. Alors, en déclarant la guerre le 1[er] septembre 1939 en envahissant la Pologne, Hitler avait pour but de s'accaparer le plus de territoires possible (notamment les territoires germanophones), pour y implanter, formater la population et diffuser son idéologie antisémite. De même que les colons propageaient leur influence dans les territoires colonisés, faire reculer l'ennemi pour conquérir son territoire et apporter sa pensée, ses idées, sa façon de vivre est primordial et contribue à la propagande. [...]
[...] Les groupes ultraradicaux En 2014, le calife autoproclamé Abou Bakr al-Baghdadi régnait sur sept millions d'habitants sur des territoires entremêlés entre Syrie et Irak. Si aujourd'hui leurs territoires ont nettement réduit, les groupes ultraradicaux sont encore présents à l'échelle supranationale, sans pour autant avoir un territoire leur appartenant officiellement. Quel est donc le but des groupes interétatiques comme Daesh ou Al-Qaïda à faire la guerre aux puissances de ce monde ? Si les territoires et l'accroissement des capitaux financiers restent un moyen de faire croître le pouvoir des groupes ultraradicaux indépendants, et donc ne peuvent pas être négligés. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture