Les contemporains ont été impressionnés par la rapidité des changements. Il y a une utilisation de l'expression « révolution industrielle » avec la transposition politique (Karl Marx l'eu déjà constaté à son époque). Il y a une idée générale de progrès (progrès technique révolution la société ; la révolution fait penser à la violence) et une critique : en vue de la domination de certaines classes, certains en profitent plus de ces progrès que d'autres.
Il y a de nouvelle forme de domination en vue de la classe ouvrière qui est de plus en plus concentrée et nombreuse, ce qui impressionne la bourgeoisie (...)
[...] Il y a un perfectionnement de l'énergie hydraulique. La machine à vapeur dépasse cette énergie qu'à partir des années 1880. Avant c'est une énergie d'appoint, complémentaire. Il y aune baisse du prix du charbon grâce à la baisse du prix du transport. L'énergie Il y a une persistance des énergies traditionnelles dans les industries: - énergie thermique - sidérurgie au bois: apogée vers 1856. Le remplacement du charbon de bois par la houille va mettre beaucoup de temps. Si on continu avec la vielle énergie (le charbon de bois), ce n'es pas seulement une question d'approvisionnement, c'est une question d'innovation technique. [...]
[...] La sidérurgie: 1890: 2M de tonnes, 1913: 15M de tonnes. Premier fournisseur de biens d'équipements. 1913: les machines représentent près de 10% des exportations. La machine allemande représente de plus en plus la machine anglaise. Les nouveaux piliers Deuxième take-off sur de nouvelles industries: - la chimie: surtout en Rhénanie autour de grandes industries (BASF, HOECHST, BAYER, AGFA). L'industrie chimique allemande s'est développée grâce à la recherche. La fabrication des colorants de synthèse remplace les colorants naturels. Les allemands ont lancé l'industrie du médicament. [...]
[...] reste une production de luxe. CONCLUSION: Malgré la modernisation (conséquence de la dépression), le développement des industries nouvelles et la petite entreprise restent très présentent. Le morcellement industriel, c'est le fait qu'il y a trop de petites entreprises car la France n'évolue pas assez vite. En 1851: les entreprises de moins de 10 salariés représentaient 78% de la main d'œuvre. En 1906: 32,2%. Le travail à domicile s'évalue à 28%. Les entreprises de 100 à 500 salariés, représentent 21,7% de la main d'œuvre, en 1906. [...]
[...] Il y a des spécialités régionales de fabrication. L'industrie à la française est aussi une industrie à la campagne qui a persisté pendant longtemps. Tailles des entreprises et évolution de la géographie industrielle La petite entreprise est abondante en France. 1851: entreprise de moins de 10 ouvriers: employé 4700 personnes plus salariés. Le petit atelier est très répandu dans le bois, la transformation des métaux. Le marché de luxe est le domaine d'une multitudes de petites entreprises mais aussi de quelques grandes entreprises. [...]
[...] Ils ont maintenu les mêmes techniques pour produire des produits de bonne qualité. L'explication par le déclin commercial : En 1913, la GB n'est pas dépassée, elle reste le premier exportateur avec beaucoup de concurrents, d'où un déclin commercial mais relatif. En 1980, des pays abandonnent le libre échange, on est dans une vague de protectionnisme. Il y a des réformes des tarifs douaniers, d'où une élévation des tarifs pour protéger la GB. La GB reste fidèle au libre échange. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture