Les régimes totalitaires se mettent en place dans des pays qui connaissent des situations politiques instables. En URSS, le stalinisme s'inscrit dans la suite de la révolution de 1917 et de la guerre civile qui suivit. Mais en revanche, en Italie ainsi qu'en Allemagne, fascistes et nazis vont profiter et exploiter les difficultés sociales des couches populaires ainsi que de la peur de la propagation du communisme chez les dirigeants. En Allemagne, ces sentiments sont encore renforcés par l'humiliation du Traité de Versailles, considéré par les allemands comme un « diktat ». Mais on peut se poser la question suivante : Italie fasciste, Allemagne nazie et URSS stalinienne : un ou des totalitarismes ? (...)
[...] Mais en revanche, en Italie ainsi qu'en Allemagne, fascistes et nazis vont profiter et exploiter les difficultés sociales des couches populaires ainsi que de la peur de la propagation du communisme chez les dirigeants. En Allemagne, ces sentiments sont encore renforcés par l'humiliation du traité de Versailles, considéré pour les allemands comme un diktat Mais on peut se poser la question suivante : Italie fasciste, Allemagne nazie et URSS stalinienne : un ou des totalitarismes ? Pour répondre à cette question, on commencera par les points communs, puis on terminera avec les différences. L'Italie fasciste, l'Allemagne nazie et l'URSS stalinienne ont toutes des points en commun. Commençons par la domination d'une idéologie. [...]
[...] Ces trois régimes ont tous l'ambition de créer un homme nouveau totalement acquis à son chef et à ses principes idéologiques. C'est-à-dire qu'il y a qu'un partit politique. Voyons maintenant un autre point commun : le culte au chef. Tant pour l'Allemagne, que pour l'Italie fasciste, que pour l'URSS stalinienne, le concept de culte au chef est présent. Tous ces totalitarismes, ne peuvent pas se passer de la personnalité du chef d'État. Quand le chef est parvenu à pouvoir, sa personnalité, ainsi que ses moindres actes sont valorisés par une propagande continue qui lui attribue toutes les évolutions positives. [...]
[...] L'Italie, l'Allemagne et l'URSS amplifient une économie autarcique : on accroît la production nationale afin de réduire au maximum les échanges avec l'extérieur. Mais la société est aussi placée sous contrôle dans les régimes totalitaires. C'est-à-dire que les partis fasciste, nazi et communiste sont les instruments de contrôle de la société. Ceux-ci possèdent des organisations de jeunesse chargées d'inculquer aux jeunes le culte du chef et le devoir d'obéissance ; par exemple en Italie, les Fils de la Louve recrutent les jeunes Italiens dès l'âge de 4 ans. [...]
[...] C'est pour cette raison, qu'on constante une omniprésence du chef de l'État. Voyons maintenant, un autre point commun : la négation des droits individuels, les négations des droits des autres. ON voit très clairement que dans les États totalitaires les droits de l'individu sont niés, c'est-à- dire qu'il n'existe aucune liberté, qu'il n'y a pas de liberté individuelle. De cette manière, les opposants politiques sont traqués par une police politique, qui celle-ci accorde une entière dévotion au chef de l'Etat. [...]
[...] On rencontre peu de différences, les principales, sont le racisme et la démocratie Parlons d'abord du racisme. C'est seulement l'Allemagne nazie qui pratique le racisme. Hitler veut, comme il l'avait expliqué dans Mein Kampf, une pureté de race, la pureté d la race arienne. Hitler est obsédé par le thème de la race. C'est pour cette raison qu'il a crée les camps de concentrations, et de déportation, comme Auschwitz. Des millions de Juifs, y étaient déportés. C'est dans ces camps de concentration, qu'on rencontre un de plus grands crimes contre l'humanité : La Shoah. [...]
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