Synthèse d'Histoire sur la remise en question de l'hégémonie américaine.
[...] Promesse : retrait des troupes en Irak d'ici 2010, négociation avec la Corée du Nord sur leur programme nucléaire, mise en garde de l'Iran à propos du nucléaire ( + menaces d'attaques). Obama souhaite une coopération avec la chine. Abandon des boucliers anti-missiles en Europe de l'Est. [...]
[...] Cette domination Américaine rencontre de nombreux et variés types de contestation. Nombreux dans le sens ou beaucoup de pays contestent, voir rejettent les agissements Etatsuniens; variés dans le sens ou ces contestations peuvent prendre des formes diverses, allant de la simple suggestion aux attentats terroristes, en passant par les manifestations et autres accusations. Aujourd'hui, les contestation se font sur leurs choix en matière de relations internationales, que le monde qualifie d'interventionnisme, et plus principalement sur leur politique vis-à-vis des problèmes au Moyen-Orient. [...]
[...] C'est donc sur leur puissance économique que les Etats-Unis vont tenter de conserver leur place de première puissance mondiale. Déclin post guerre froide : Dans les années qui ont suivi la guerre froide, le système américain de gouvernance chercha prioritairement à étendre la mondialisation et à consolider le nouveau statu quo stratégique. Malgré les accents impériaux de son nouvel ordre mondial George H. W. Bush (1989-1993) poursuivit enfin de compte une politique d'équilibre des forces classiques. Il laissa Saddam Hussein au pouvoir en Irak après la guerre du Golfe de 1991 pour éviter de faire éclater l'État irakien et de bouleverser l'équilibre régional, fit des gestes d'ouverture discrets en direction de la Corée du Nord, retira les armes nucléaires américaines de la péninsule et évita d'exacerber les tensions avec la Chine. [...]
[...] Introduction : le mythe de l'hyper-puissance américaine a vécu. La puissance des États-Unis, si elle reste seule à pouvoir prétendre à la globalité, elle se trouve néanmoins de plus en plus contestée par l'émergence des puissances rivales et par la mondialisation. Dans un système international actuel rien ne peut se faire sans les États-Unis mais les États-Unis ne peuvent plus tout faire. Perçus comme les gendarmes du monde, ils ont en réalité perdu leur maîtrise. I paroxysme et déclin de l'hégémonie américaine : L'imposition de l'Amérique dans le monde : En 1945, les États-Unis sont le seul pays allié resté intact : le territoire américain n'a pas été envahi et n'a pas connu de destructions massives, sauf à la suite de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor en 1941. [...]
[...] C'est ce qui a permit à l'Amérique d'imposer autant ses choix économiques que politiques. L'auteur nous précise que c'est surtout sous la présidence de Georges. W. Bush que les États-Unis ont changé les règles du jeu en se débarrassant tout simplement des règles. Et ce, en invoquant l'universalité En effet c'est sous l'administration Bush que se développe la politique de Faire tomber des gouvernements de mettre en place des garnisons impériales pour des décennies» et de planifier des guerres impériales en faisant appel au maximum de force afin de montrer qu'on ne peut défier l'empire avec impunité À long terme, Washington doit avoir pour objectif d'empêcher l'apparition de rivaux puissants, hostiles à l'empire, par la guerre si nécessaire ou par assimilation impériale si possible On reproche surtout à l'administration Bush son manque de subtilité et son incapacité à saisir la différence entre soft power et hard power après les attaques du 11 septembre. [...]
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