L'Humanisme a des grands principes, dont un des plus importants, est l'individualisme. Ce fondement place l'homme au centre de tout projet. Désormais on considère que si l'homme est créé par Dieu, cela signifie qu'il est libre et donc capable d'agir.
En continuant dans cette approche, ces philosophes se placent contre la tradition moyenâgeuse où l'homme fut toujours sujet d'un maître, suzerain (roi, Dieu, seigneur, homme plus puissant...), en résumé l'homme subissait le système féodal (...)
[...] Dans le reste de l'Europe, on retrouve le même engouement pour la culture et la tolérance en Allemagne grâce à Johannes Reuchlin et Mélanchtlon qui lui tente d'apaiser l'Allemagne et ses conflits entre les humanistes et les non-humanistes. Erasme émit ses pensées du côté de la Hollande grâce à ses œuvres. Quant à l'Angleterre, elle fut touchée par l'humaniste Thomas More et ses maîtres William Grocyn et Thomas Linacre. Ces pays furent les plus importants mais pas les seuls, tout l'Occident fut convertit. (alinéa) Après avoir développé ces différentes idées nous pouvons en conclure que l'homme est bien eu centre de la pensée humaniste. [...]
[...] Les réformes _car l'humanisme n'est pas une révolution mais fait une succession de réformes_ sont toutes prises dans ce sens là. On étudie les sciences, les textes antiques, on dessine l'homme, on cherche de nouvelles terres, on veut une société meilleure tout cela dans le seul but de perfectionner l‘Homme pour qu‘à son tour il améliore le monde. On l‘idéalise et finit par l‘installer dans en Utopie. Ce mouvement ne dure d'ailleurs qu'un temps et laisse la place à d'autre philosophies plus en accord avec l'époque. [...]
[...] Histoire: Composition: L'humanisme, ses grands principes, les domaines, et sa diffusion. (alinéa) Le et les XVI° siècles marquent la fin du Moyen-âge, et l'entrée dans une nouvelle période, La Renaissance, où une philosophie neuve va naître, en contradiction totale avec l'époque passée, (qui paraissait alors plutôt archaïque): l'Humanisme. Durant ces siècles, de grands penseurs ont rêvé d'une société s'appuyant sur l'Antiquité, exemple de perfection pour eux. Les humanistes installèrent l'homme au centre de tout projet. Pourquoi l'homme devient-il la principale préoccupation des humanistes? [...]
[...] Cette nouvelle approche permet des progrès techniques et scientifiques, comme en médecine où en observant et disséquant le corps humain on comprend son fonctionnement (anatomie, soin un renouveau spectaculaire à lieu en astronomie aussi, on conçoit le monde autrement, Copernic garantit que la Terre tourne autour du soleil et non le contraire, le système héliocentrique, dans son ouvrage revolutionibus orbium caelestium en Toutefois ces avancées ont leurs limites: manque d'instruments de mesure. De plus les savants sont victimes de leur admiration des Anciens, ils ne veulent pas discuter l'héritage et corriger les erreurs. (alinéa) Les sciences ont désormais une place dans l'Art. Les progrès scientifiques sont appliqués à ce domaine: l'anatomie en médecine permet de dessiner l'homme plus vraisemblablement, nous pouvons citer comme exemple "l'homme de Vitruve" de Léonard de Vinci. [...]
[...] Subséquemment ceux qui étaient nommés comme des artisans anonymes signent désormais leurs œuvres et deviennent célèbrent. Ce sont de vrais artistes, certains acquièrent une notoriété. Malgré de nombreux changements, les artistes demeurent nonobstant des humanistes et restent attachés aux méthodes antiques, par exemple l'utilisation du rond et du carré en architecture. Les thèmes sont aussi les mêmes que ceux de l‘Antiquité: on fait de nombreux portraits et on représente les modèles anciens, la nature, les paysages. Les représentations religieuses sont plus rares. [...]
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