<strong>Le premier gouvernement Barre</strong>
<strong>Le deuxième gouvernement Barre d'avril 1977 à Avril 1978</strong>
<strong>Le troisième gouvernement Barre d'avril 1978 à mai 1981</strong>
[...] La campagne électorale est difficile, VGE choisit comme slogan : Il faut un président à la France et se présente comme le candidat du changement. Marchais est anti-tout. Mitterrand prend un conseiller en communication et choisit la force tranquille avec un refus des communistes aux postes ministériels sensible. Au premier tour, la gauche remporte la majorité les écologistes le PC fait un mauvais résultat et Chirac Au deuxième tour, les écologistes ne donnent pas de consignes de vote mais penchent vers la gauche. Lors du débat du 5 mai, Mitterrand utilise les critiques de Chirac contre VGE. [...]
[...] Le PC apparaît comme un parti sclérosé, le PS fait des progrès et le RPR, l'UDF gardent leurs positions. Le troisième gouvernement Barre d'avril 1978 à mai 1981. A nouveau, il démissionne et il est renommé. L'électorat a manifesté un désir de continuité, donc pas de changement au niveau du gouvernement. On donne l'environnement à d'Ornano, et le ministère de l'économie à Maurice Papon, le ministère de l'énergie à Giroud. Il engage la responsabilité du gouvernement à l'assemblée nationale et au sénat. [...]
[...] Le premier gouvernement Barre. Le 25 au soir, on fait le choix de Barre, inconnu des français, universitaire, mais pas si étranger que ça à la politique. Il est professeur d'économie, collaborateur direct dans le gouvernement Debré, pendant cinq ans il est vice président de la communauté européenne. Il a bloqué la dévaluation du franc en 1968, et il était ministre du commerce extérieur dans le gouvernement chirac. On vise à élargir la majorité présidentielle par ce choix, qui s'explique aussi par le contexte économique. [...]
[...] Le deuxième gouvernement Barre d'avril 77 à Avril 1978. Pour la forme Barre démissionne et se refait engager ministres partent : Lecanuet, Poniatowski et trois départs liés aux échecs électoraux : Durafour, Giroud. Il y a deux entrées : Peyrefitte et Monory. Au plan économique, il y a un refus de toute relance globale. Barre met en place un deuxième plan, mais avec des mesures prudentes : le pacte national pour l'emploi, mais ne satisfait personne y compris au sein de la majorité. [...]
[...] Le PC fait preuve d'une union sans faille derrière G. Marchais, qui annonce sa candidature aux élections présidentielles. Le PS s'élargit et devient un parti attrape tout. Il se déchire entre deux noms, Mitterrand et Rocard. Le MRG se marginalise de plus en plus et envisage de présenter Michel Crépeau. L'UDF reste elle-même et le parti radical se questionne sur sa position. Le poids lourd reste le RPR et après les élections européennes, Chirac change d'entourage, et on pense qu'il va se présenter mais il ne dit rien. [...]
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