[...] Aux Etats-Unis, Frederic Taylor invente l'Organisation Scientifique du Travail (OST) dans le but d'optimiser au maximum la rentabilité du travail. Pour cela, l'homme doit s'adapter à la machine. Le principe du taylorisme est d'éliminer les gestes superflus en confiant une tâche par ouvrier. Résultat, les ouvriers ne se déplacent plus, effectuant un gain de temps. La fabrication des produits est divisée en tâches simples répétés par l'ouvrier ; c'est le début du travail à la chaîne. De plus, les ouvriers spécialisés coûtent moins chers que les ouvriers qualifiés.
b) Le fordisme
Cette méthode implique le taylorisme sauf que le salaire y est plus élevé afin d'avoir plus de consommateurs ; les ouvriers également pourront s'acheter des produits des usines Ford.
+ Economiquement, c'est un succès ; le travail est plus rapide et moins cher donc, la productivité augmente.
- Socialement, cette méthode est contestée car le travail est répétitif, abrutissant, exténuant, de plus, on observe une division nette entre les ingénieurs et les ouvrier, que ce soit dans la société, le mental ou encore le salaire.
[...] Des progrès limités dans le secteur agricole
Changements :
- Spécialisation des exploitations (culture céréalières et industrielles dans le Bassin parisien, viticulture, agriculture maraîchère) due à l'agrandissement des villes durant la Seconde Révolution Industrielle.
- Nouveau matériel fonctionnant à la vapeur, mécanisation.
- Modernisation de l'outillage (ex : les faucheuses).
- Engrais provenant de l'industrie chimique.
Conséquences :
- Exode rural : dépeuplement de certaines régions notamment dans les montagnes.
- Inégalité sociale entre les agriculteurs archaïques et les agriculteurs modernes.
La modernisation touche-t-elle toutes les régions et toutes les exploitations ? (...)
[...] La vie a-t-elle évoluée ? La vie quotidienne dans les campagnes reste peu moderne, au niveau de l'électricité par exemple. Les familles vivent à plusieurs, souvent avec des animaux qui réchauffent la pièce. Niveau langage, le patois domine sur le français. Pour le gouvernement, les campagnards ne sont que des ignorants peu civilisés. L'identité nationale n'est pas totalement formée. Dans les campagnes, la religion est beaucoup présente. A cela, s'ajoute la superstition. Par conséquences, les constructions d'églises se multiplient. B. [...]
[...] : entre 1871 et 1900 : liberté d'expression (suffrage universel) Le rôle de l'école - 1881 : gratuité, laïcité, obligatoire (primaire) d'après la loi Ferry - Belle Epoque : développement et rôle important dans la diffusion des valeurs de la république française Une République laïque - loi sur l'organisation de l'Eglise : indépendance - 1801 : concordat de Napoléon : religion catholique = relation officielle - Les républicains radicaux sont menée par Emile COMBES (1902-1905 : président du Conseil) et luttent pour supprimer l'influence de l'Eglise dans la vie politique. La Belle Epoque s'arrête brutalement en 1914, au début de la Première Guerre Mondiale. [...]
[...] Le secteur agricole reste prépondérant, c'est-à-dire qu'il domine et fait de la France un pays globalement agricole. Des progrès limités dans le secteur agricole Changements : Spécialisation des exploitations (culture céréalières et industrielles dans le Bassin parisien, viticulture, agriculture maraîchère) due à l'agrandissement des villes durant la Seconde Révolution Industrielle. Nouveau matériel fonctionnant à la vapeur, mécanisation. Modernisation de l'outillage (ex : les faucheuses). Engrais provenant de l'industrie chimique. Conséquences : Exode rural : dépeuplement de certaines régions notamment dans les montagnes. [...]
[...] En effet, la majorité ne dépasse pas les dix hectares. Les paysans et la République : Deux tiers sont locataires. Les plus nombreux : les fermiers qui louent les terres contre de l'argent. Les moins nombreux : les métayers qui louent les terres contre une partie de leur récolte. Prolétariat rural : ouvriers agricoles. La République a apporté à ces paysans l'instruction et le suffrage universel. Nous avons certes une modernisation économique, mais les changements réels sont très lents, ce qui entraîne des inégalités notamment sociales. [...]
[...] + Economiquement, c'est un succès ; le travail est plus rapide et moins cher donc, la productivité augmente. - Socialement, cette méthode est contestée car le travail est répétitif, abrutissant, exténuant, de plus, on observe une division nette entre les ingénieurs et les ouvrier, que ce soit dans la société, le mental ou encore le salaire. L'essor du capitalisme Action : part du capital d'une entreprise. Concentration horizontale : rassemblement des établissements engagés dans le même niveau de production. Concentration verticale : entreprises qui réunissent les différentes étapes de la production. [...]
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