La troisième république se maintient jusqu'en 1940, mais les vingt dernières années sont en réalité les plus longues de la république. Elle est l'un des modèles de démocratie libérale, avec la Grande Bretagne, et les Etats Unis. C'est un système politique qui garantie les libertés fondamentales, repose sur le suffrage universel, et le pluralisme politique. Cependant, la crise de 1919-1939, dénote un mauvais fonctionnement interne, notamment face au développement d'autres modèles, comme les modèles communistes et fascistes. Cependant le régime résiste aux moments de crise, comme en février 1934 [...]
[...] La démocratie et la république sont enracinées dans l'esprit français. En France 1 parti, particulièrement, a joué un rôle pour la conservation de la république, le parti radical. La France a montré notamment son attachement par l'échec du révisionnisme intellectuel : Ainsi Doumergue a attendu trop de temps pour présenter sa réforme, au mois de septembre 1934, a choisi la radio, fait mal vécu par les parlementaires. Il faut attendre la seconde guerre mondiale et que le 10 juillet 1940 soit remis au maréchal Pétain les pleins pouvoirs, pour un changement. [...]
[...] Il se démarque complètement de la démocratie libérale. Le parti communiste est né en 1920, lors du congrès de Tours, où s'est faite la scission entre le part communiste, SFIC, qui a accepté la III e internationale, et la SFIO. Au début, elle n'obtient pas beaucoup de succès, il est juste constitué de groupuscules qui répondent aux initiatives de Moscou : Bolchévisation dès 1924 Dés 1928, application de la tactique glace contre glace : tout ce qui n'est pas communiste appartient au camp bourgeois ou fasciste. [...]
[...] La crise de la République La déstabilisation du système français. Le système républicain. Le modèle tertio républicain peut être aussi qualifié d'éco système, puisque la république repose sur des institutions, mais pas uniquement. Les valeurs issues de la révolution française, et la déclaration des droits de l'homme, viennent s'ajouter à la laïcisation de l'Etat. Les deux bases fondamentales de son fonctionnement sont la prépondérance du parlement sur le président de la République, soit la victoire de la république parlementaire. Elle est aussi synonyme de promotion sociale, pour les classes moyennes qui constituent la base de la société, en plein essor, et fidèle au régime républicain. [...]
[...] Toutes les ligues d'entre deux guerre n'était pas fascistes, mais seulement certaines : Le faisceau en 1925, solidarité française en 1933, le PPF en 1936, avec Doriot, qui est le seul parti de masse fasciste crée par Doriot, qui était en 1934 une figure du parti communiste français. Certains intellectuels sont aussi fascinés par la fascisme, comme Drieux, Brasiliac, la Rochelle . III] La résistance de la démocratie. Des menaces contenues. Les contre modèles ont échoué : Le PC a choisi de défendre la république, alors que qu'il avait un programme révolutionnaire dans les années 1902, et le fascisme doit faire face à un échec lié à la petite taille des mouvements. [...]
[...] Pour deux raisons : La multiplication des décrets lois : soit un texte qui émane de l'exécutif, et qui a force de loi. Elles offrent au gouvernement la possibilité d'agir vite, et leur nombre se multiplie entre 1924-1934. L'utilisation due la radio par le pouvoir exécutif: La première fois a lieu en 1932 par un homme de droite, A. Tardieu. Les parlementaires ont le sentiment que par la radio, les chefs de l'exécutif passent au-dessus d'eux. Elle a été utilisée ensuite par des radicaux, tels que Herriot ou encore Doumergue en 1934. [...]
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